Brigitte et Emmanuel Macron accusés d’avoir « commandité un assassinat » ! Une trumpiste persiste et signe
Le cauchemar médiatique continue pour le couple présidentiel français aux États-Unis ! En conflit ouvert avec l’influenceuse trumpiste Candace Owens, qui diffuse à grande échelle l’intox sur le genre de Brigitte Macron, la Première dame et son époux se retrouvent visés par une nouvelle accusation de l’Américaine.
Comme le rappelle le magazine Closer dans son édition de cette semaine, après avoir propagé la fausse nouvelle selon laquelle l’ancienne enseignante serait née homme, la « star des réseaux Maga » a franchi une nouvelle étape.
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Dans une longue publication diffusée sur X la semaine dernière et consultée plus de 36 millions de fois, Candace Owens assure que le couple Macron aurait « commandité et financé » son assassinat pour la faire taire !
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L’influenceuse affirme avoir été contactée par « un haut fonctionnaire du gouvernement français, bien placé au sein de l’appareil d’Etat ». Forte de cette prétendue source, Candace Owens proclame que le Président de la République et sa femme auraient « donné le feu vert à une petite équipe du GIGN » pour son élimination.
L’Américaine ne s’arrête pas là, évoquant même l’intervention d’une « personne israélienne au sein du commando » et assurant que le gouvernement de Donald Trump serait « au courant de cette supposée opération » !
Elle précise dans une seconde publication datée du 23 novembre : « On m’a dit que des paiements pour des assassinats transitaient en France. Cela signifie qu’il existe des preuves écrites. » Des « preuves » qu’elle n’a, bien évidemment, pas produites.
Déjà en conflit judiciaire avec Candace Owens – le couple ayant déposé plainte auprès d’un tribunal américain en juillet dernier – les Macron n’ont pour l’instant « pas réagi » à cette nouvelle accusation « farfelue ».
Toutefois, cette action en justice expose Brigitte Macron à de « terribles obligations judiciaires » pour attester sa bonne foi. Aux États-Unis, pour soutenir sa plainte contre la propagation de l’intox, la Première dame se voit obligée de prouver son identité, donnant aux juges accès à des « informations toutes plus intimes les unes que les autres », telles que des photos d’elle lors de sa « première communion » ou « enceinte ».
Loin de se laisser intimider par ces démarches, Candace Owens continue sans « vergogne » de charger notre Première dame dans cet « épineux dossier ».