Adieux douloureux ! Brigitte Macron brisée de renoncer à la maison de toute sa vie au Touquet !
Alors qu’elle se prépare à affronter une épreuve judiciaire majeure aux États-Unis, Brigitte Macron a dû surmonter un autre « coup dur » : dire au revoir à la « maison de toute sa vie ».
Dans quelques semaines, Brigitte Macron affrontera devant un tribunal américain l’influenceuse trumpiste Candace Owens, qui diffuse la fausse rumeur selon laquelle elle serait née homme.
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L’épouse d’Emmanuel Macron a récemment révélé dans une prise de parole auprès de Gala la « violence inouïe » du harcèlement en ligne qu’elle subit. Elle serait même poussée à prouver son genre en fournissant à la justice son « acte de naissance, des photos de son baptême » et des clichés de son « enfance heureuse » entre Amiens et Le Touquet.
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Or, au même moment, c’est tout un pan de ce passé qu’elle a dû abandonner. La Voix du Nord a en effet annoncé ce 5 novembre qu’elle était venue au Touquet pour déménager la villa Monéjan, héritée de ses parents, Simone et Jean.
La « belle bâtisse » de trois niveaux, qui fut le « refuge » du couple Macron depuis leur rencontre, avait été mise en vente il y a quelques mois. Sa vente aurait permis au couple présidentiel d’acquérir une nouvelle demeure plus discrète en front de mer, pour « 3,6 millions d’euros », selon la presse locale. L’ancienne villa, située sur l’avenue commerçante Saint-Jean, rendait leur « protection difficile », le « ballet des CRS » ayant même « agacé les riverains ».
Mais au-delà de l’affaire immobilière, cette vente est un crève-cœur pour la Première dame, rapporte le magazine « Public » dans son édition de cette semaine.
« Elle a toutes les peines, nous confirme un proche. Elle adorait y passer des moments. Et elle avait une vraie routine dans ce quartier. C’est là qu’elle était chez elle ».
Ce sont ces lieux où elle passait ses vacances, où elle s’est mariée au père de ses enfants, André-Louis Auzière, et où elle s’est réfugiée quand elle est tombée amoureuse d’Emmanuel Macron et que le « Tout-Amiens la reniait ».
Un pan d’histoire se tourne pour les locataires de l’Élysée, qui continuent de voter au Touquet mais devront désormais trouver ailleurs « la clé du bonheur ».
