Anouchka Delon se déchaîne contre son frère Alain-Fabien

– par Nolwenn A. Dalpiva
Anouchka Delon se déchaîne contre son frère Alain-Fabien

Quelques heures seulement après l’onde de choc provoquée par l’interview d’Alain-Fabien Delon sur RTL, sa sœur Anouchka Delon a mis fin à son silence. Ce jeudi 11 décembre, elle s’est emparée de son compte Instagram pour dénoncer la « trahison » de son petit frère et livrer une réponse cinglante.



Invité la veille dans Face à Fogiel, Alain-Fabien Delon avait révélé qu’il allait saisir la justice pour contester le dernier testament d’Alain Delon, rédigé en 2022.

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Il avait justifié sa démarche en affirmant que ce n’était « pas une question d’argent », mais qu’il voulait « avant tout pour faire respecter les dernières volontés de mon père ». Il avait ensuite accusé ouvertement sa sœur.

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« Je trouve que certaines personnes malintentionnées ont pu profiter d’un état de faiblesse de mon père à des fins pécuniaires et ça m’empêche de dormir la nuit », a-t-il lancé, avant d’ajouter sans détour qu’il ne voulait pas qu’elle « touche quoi que ce soit, ni même un centime. »

La riposte d’Anouchka Delon est cinglante. Sans mentionner son cadet nommément, la mère de Lino dénonce celui qu’elle appelle « ce gamin prétendant être un fils, un frère ».

Elle l’accuse d’avoir « poignardé son unique sœur dans le dos, ainsi qu’à trahir les liens sacrés du sang sur la place publique ». Selon elle, Alain-Fabien serait « mû par une jalousie fratricide et une haine compréhensible mais inexcusable ».

Anouchka estime que ses frères sont parvenus à la désigner comme le « mouton noir de la famille Delon ». Pire, elle accuse son cadet d’avoir dépouillé « son père de tout ce qui lui restait », notamment « sa dignité, son honneur, son nom, ses dernières volontés, ainsi que son éternel repos ».

Elle conclut son réquisitoire par des mots très durs : « Ses menaces ainsi que son chantage de mafieux de série B ne m’intimident guère », assurant que « l’orgueil, l’ego, ainsi que les préjugés punitifs de ce minot me passent au-dessus ».