Durant sa relation avec Lenny Kravitz, qui a partagé sa vie dans les années 90 ans, Vanessa Paradis n’a pas eu besoin d’une armée d’assistantes à son service.
Après avoir fait montre de discrétion durant plusieurs semaines, Vanessa Paradis se livre dans les colonnes de la version italienne de Vanity Fair, où elle évoque non seulement sa carrière, mais aborde également sa vie en Californie, avec un clin d’oeil à sa séparation d’avec Johnny Depp .
La chanteuse et comédienne est actuellement en pleine promotion de son film « Sous les jupes des filles », qui débarque sur les écrans américains dès le mois de décembre.
Pour l’occasion, une journaliste de Vanity Fair est allée à sa rencontre.
L’entretien s’est déroulé vers 3 heures de l’après-midi dans un restaurant argentin discret de Hollywood Hills, où « la pièce était vide ».
Vanessa Paradis portait ce jour là un blazzer, d’au « moins deux tailles que la sienne, et un pantalon velours très large ».
Pour la journaliste de Vanity Fair, la star « ressemble à une petite fille qui porte des vêtements d’adultes ».
« Je lui demande si elle aime Los Angeles ? », la chanteuse fait alors « une grimace de dégoût ».
Elle rappelle ensuite que ses enfants sont en partie américains. « ça me dérange que vous pensiez que je parle mal de Los Angeles », a—t-elle ensuite lancé.
« Après sa séparation de Johnny Depp, tout le monde affirme : « elle est déprimée », « Non, elle heureuse », rectifie la journaliste.
Vanessa Paradis elle-même n’arrive pas à mettre des mots sur ce qu’elle ressent vraiment.
Une chose est sûre, « elle ne regrette rien ».
Cet entretien a été réalisé deux jours avant les attentats terroristes qui ont secoué Paris.
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