Thomas Dutronc : l’émouvant message de Noël pour son chat miraculé à la vie brisée

– par Nolwenn A. Dalpiva
Thomas Dutronc : l'émouvant message de Noël pour son chat miraculé à la vie brisée

Pour ce réveillon de Noël 2025, marqué par une émotion particulière, Thomas Dutronc n’a pas souhaité se mettre en avant. Le musicien, qui a dû affronter la perte douloureuse de sa mère Françoise Hardy des suites d’un cancer il y a peu, a préféré céder la vedette à un être cher qui partage son quotidien : sa chatte, prénommée Khaleesi.



Sur un cliché partagé avec ses abonnés, l’animal apparaît majestueux dans un « décor noir et doré ». Pourtant, derrière la beauté de l’image se cache un passé tragique. Thomas Dutronc, qui a récemment évoqué sa compagne, a tenu à rappeler le parcours de combattante de son amie à poils, probablement victime d’un accident avec un « engin agricole » qui lui a coûté ses deux pattes arrière.

À lire : Françoise Hardy célébrée dans « L’été où je suis devenue jolie »

Grâce à une patience infinie et des soins constants, l’une de ses jambes a pu être sauvée, bien qu’elle ne possède plus qu’un « seul coussinet et un doigt », tandis que l’autre a dû subir une amputation totale.

À lire : Françoise Hardy victime d’une hémorragie interne, l’été à l’hôpital

Comme si cela ne suffisait pas, la petite miraculée souffre également d’une « insuffisance rénale chronique ». Malgré ces épreuves, Khaleesi est aujourd’hui une chatte apaisée.
Cela illustre parfaitement le combat de l’association HandiCats à laquelle Thomas Dutronc est très lié.

Jacques Dutronc a surtout souhaité, avec son post sur Instagram, envoyer un message d’espoir et de solidarité à tous ceux qui, comme lui, célèbrent ces fêtes avec une pensée pour les plus vulnérables.

Ce message a suscité une immense vague de tendresse de la part de sa communauté, encore touchée par le deuil.

Un internaute a d’ailleurs résumé le sentiment général en rappelant que, malgré la douleur, des « étoiles brillent dans le ciel » pour honorer la mémoire de ceux qui nous ont quittés mais restent « oh combien toujours présents ».

...