
C’est un moment difficile que traversent ces deux amis que rien ne semble pouvoir séparer… Soudés dans la joie, dans la fête et les rires, Karine Le Marchand et Stéphane Plaza sont aussi plus que jamais unis dans la peine, précise la publication.
Stéphane Plaza a-t-il bénéficié d’un "traitement spécial" lors de sa garde à vue de 24 heures dans une affaire de trafic de drogue ? Les autorités auraient voulu faire un exemple.
C’est la bombe lâchée par un avocat pénaliste sur BFMTV mardi soir, qui juge la procédure "très inhabituelle" et "disproportionnée" pour un simple consommateur présumé.
L’ex-animateur star de M6, déjà fragilisé, se retrouve une nouvelle fois au cœur d’une polémique.
L’animateur 54 ans avait été interpellé lundi soir à son domicile de Bougival et entendu dans le cadre d’une enquête menée par la PJ de Seine-Saint-Denis,avant d’être relâché le lendemain sans aucune poursuite.
Ses avocats ont d’ailleurs immédiatement contre-attaqué, affirmant avec force qu’"Aucune quantité de stupéfiant n’a été retrouvée à son domicile contrairement à ce qui a été faussement affirmé dans la presse". Stéphane Plaza serait simplement soupçonné d’être un consommateur régulier.
Mais alors, pourquoi une telle médiatisation et une garde à vue ? Pour Me Randall Schwerdorffer, invité sur BFMTV, la réponse est limpide.
"Manifestement, il a eu un traitement spécial parce que c’est Stéphane Plaza". L’expert a souligné qu’il est "très singulier qu’on place en garde à vue dans de telles conditions un simple consommateur", ironisant que si cette méthode était généralisée, "il va falloir multiplier par quatre le nombre de commissariats de police".
Selon lui, une simple audition en tant que témoin, loin des caméras, aurait été la norme. Qualifiant la gestion de l’affaire par les enquêteurs d’"interloquante", il a rappelé que ce "ne sont pas les clients qui intéressent" habituellement les services de police dans ce type de dossier visant des réseaux de revente.
Cette nouvelle affaire explosive éclate alors que Stéphane Plaza est décrit par ses proches, cités par Le Parisien, comme étant "au fond du trou", particulièrement depuis sa condamnation à un an de prison avec sursis pour violences sur ses anciennes compagnes. "Il ne pensait pas être si lourdement condamné", avait confié l’un d’eux.
Cruelle ironie, lors de ce procès, l’animateur avait nié avec véhémence toute consommation de drogue : "Jamais ! Jamais !", avait-il martelé à la barre, concédant seulement une consommation d’alcool "mondaine".
Si aucune charge n’a été retenue contre lui à l’issue de cette garde à vue, BFMTV rapporte qu’il devra néanmoins s’acquitter de 3 000 euros au profit d’une association d’aide aux victimes. Un énième coup dur pour l’ancienne coqueluche de M6.
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