Prince William : pourquoi il renonce à dépouiller Harry et Meghan de leurs titres de Sussex
Le prince de Galles semble avoir revu ses plans de bataille concernant les exilés de Californie. Si Le prince William aurait un temps envisagé de retirer officiellement les titres de duc et duchesse de Sussex à son frère et sa belle-sœur, Meghan Markle et le prince Harry, lors de son accession au trône, il aurait finalement changé son fusil d’épaule.
Selon des révélations de Radar Online, ce revirement ne serait pas dicté par la clémence, mais par un constat implacable : la marque « Sussex » ne vaudrait plus rien.
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En les privant de leurs titres, William craindrait de passer pour un frère « mesquin » aux yeux du monde, alors qu’en les ignorant, il exercerait une forme de punition jugée bien « plus cruel ».
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L’expert de la royauté Rob Shuter, s’exprimant dans le podcast The Nerve de Maureen Callahan, est catégorique : le prestige associé au nom des Sussex s’est évaporé suite à leurs échecs successifs.
Après la fin de leur contrat lucratif avec Netflix et le manque d’impact de la marque de Meghan Markle, (As Ever), le couple aurait lui-même « diminué » la valeur de son identité royale en tentant de l’exploiter à des fins commerciales sans réel succès professionnel.
« Ils n’obtiendront plus aucun contrat. C’est terminé », affirme Shuter, soulignant pour l’occasion que posséder ce titre aujourd’hui n’offre plus aucun levier financier sérieux.
Pour le futur souverain, laisser à le prince Harry et Meghan Markle, des attributs dont ils ont eux-mêmes détruit l’éclat serait la revanche ultime. Depuis leur départ pour la Californie en 2020 en quête d’une « indépendance financière », les Sussex auraient, par leurs choix, saboté l’empire qu’ils espéraient bâtir.
En choisissant d’« ignorer » les provocations et de maintenir le statu quo, William évite le scandale d’une destitution officielle tout en laissant son frère face au vide d’une marque qui ne signifie désormais « pratiquement rien ». Une stratégie de l’oubli qui s’avère bien plus dévastatrice qu’une guerre ouverte.
