Dans la nuit du 1er au 2 janvier 2024, Nikos Aliagas a été victime d’une tentative de cambriolage à son domicile.
Le mardi 30 janvier, cinq individus, âgés de 19 à 23 ans,ont été condamnés par le Tribunal correctionnel du Val-de-Marne pour tentative de cambriolage et association de malfaiteurs en vue de commettre un potentiel home-jacking. L’animateur de la Star Academy n’était pas à son domicile. Il se trouvait d’après les rumeurs en Grèce avec sa famille.
Le jeudi 1er février, Cyril Hanouna est revenu sur cette affaire avec ses chroniqueurs.
Et c’est l’occasion de recueillir les confidences de Me Roland Perez, l’avocat de l’animateur star de TF1, qui a détaillé le déroulement des faits.
« Ils ont été condamnés assez lourdement parce qu’on est sur une tentative de cambriolage qui a très vite échoué. Ils ont essayé de passer par le portail. Il pensait que l’alarme ne fonctionnait pas et heureusement, l’alarme fonctionnait », a expliqué l’avocat.
« À partir de là, celui qui était rentré pour ouvrir le portail à ses autres comparses (...) est revenu dans la rue pour rejoindre la voiture et c’est ainsi qu’ils ont été très vite arrêtés, car il y avait une patrouille qui circulait, dans la région où est installée la maison de Nikos Aliagas. Deux ont été condamnés à trois ans de prison, dont 18 mois ferme pour l’un, un an ferme pour l’autre », explique l’homme de loi dans le cadre de cet échange avec Cyril Hanouna.
« Les trois autres ont été condamnés à deux ans de prison, dont un an avec sursis. Pour les trois derniers, a priori, ils vont pouvoir leur installer un bracelet électronique ».
Dans la suite de l’entretien, Cyril Hanouna a pris des nouvelles de Nikos Aliagas.
« Il est traumatisé parce que quand on trouve dans la voiture du serflex », explique l’avocat. C’était pour lui « ligoter les mains, les pieds ».
« Quand on trouve du ruban adhésif pour scotcher la bouche, quand vous savez que vous êtes avec vos enfants, vous vivez avec votre épouse, ce qui est arrivé chez Bruno Guillon, oui rétrospectivement, vous avez un préjudice d’anxiété extrêmement important. Il aurait pu être là, dans sa maison, avec ses enfants », a réagi l’avocat.
« Lors de l’audience, les prévenus ont quand même dit que les instructions qu’ils avaient reçues, c’était uniquement de voler assez rapidement, de partir très vite et qu’il n’y ait aucun fait de violence qui soit commis (...) L’aggravation de la séquestration n’a pas été retenue par le tribunal », a conclu Me Roland Perez.