Et ce fut déjà le cas lorsque le duc et la duchesse du Sussex ont renoncé à leur activités protocolaires.
Lorsque le prince Harry appelé le Palais depuis Vancouver, où il s’était réfugié en famille dans un premier temps, afin de fixer une date précise pour voir la reine Elizabeth, certains secrétaires particuliers lui faisaient savoir qu’il n’était pas attendu. Sa Majesté, emportée par la maladie le 8 septembre dernier, n’avait aucune disponibilité avant de nombreuses semaines, rappelle le magazine 7 Tage.
Ce propos était déjà confirmé par plusieurs experts royaux dont l’historien Robert Lacey, auteur notamment « Guerre royale - Mensonges et trahisons », un ouvrage documenté sur la guerre opposant les Cambridge et les Sussex.
Un épisode avait particulièrement été évoqué. Le retour de Meghan Markle et le prince Harry du Canada. ils « bouillonnaient quand leur vol Air Canada se posa à Londres à l’aube du lundi 6 janvier ». Et ils ne pouvaient voir la reine que quelques semaines plus tard, soit le 29 janvier.
« Cet étrange report de calendrier était-il l’œuvre des ronds-de-cuir, les secrétaires particuliers et autres courtisans encroûtés de Buckingham Palace ? Ou fallait-il y voir une volonté délibérée de la reine elle-même, peut-être sous l’influence de Charles et William ? », se demandait l’auteur.
En réalité, c’était la reine qui aurait pris ses distances.
Et les choses pourraient aussi se compliquer avec le prince Charles à l’avenir. Il serait inaccessible.