
Raphaël Glucksmann, le compagnon de Léa Salamé, tient entre ses mains un scoop concernant le président Emmanuel Macron. En effet, des rumeurs persistantes évoquent la possibilité d’un remaniement gouvernemental, alimentant les spéculations depuis...
Léa Salamé affronterait un éprouvant crève-cœur... On dit souvent que toutes les bonnes choses ont une fin, et les belles histoires aussi, à en croire une annonce qui, la semaine dernière, aurait plongé la journaliste de France Inter, dans une immense tristesse !
Le magazine France Dimanche évoque une rupture après huit ans de bonheur. Mais il ne s’agit pas de sa vie sentimentale.
Voilà en effet huit ans que la journaliste partageait des moments intenses et heureux avec un complice qui vibrait, comme elle, pour l’info, la presse et la vérité.
Seulement voilà, cet homme à la curiosité insatiable et à la passion intacte pour son métier a décidé de tirer sa révérence, mettant un terme à leurs rendez-vous quotidiens. Mais que les auditeurs se rassurent !
L’animatrice de radio et de télévision et son amoureux, Raphaël Glucksmann, ne sont absolument pas sur le point de rompre !
En réalité, c’est un autre pilier de la vie professionnelle de la journaliste qui a choisi, après huit années d’une collaboration fructueuse et sans l’ombre d’un nuage, de quitter le navire.
Il s’agit de Claude Askolovitch, 62 ans, la voix et la plume acérées de la revue de presse quotidienne, à 8 h 47 précises sur France Inter, dans la matinale qu’elle coanime avec Nicolas Demorand.
L’éditorialiste ne reprendra en effet pas son poste à la rentrée prochaine. « J’ai 62 ans », a-t-il confié à Télérama, avouant son désir de conserver un lien avec la radio nationale.
« Depuis huit ans, je me lève cinq jours par semaine à 2 heures du matin. Et ce, dix mois par an. Je dors trois à quatre heures par nuit. J’ai pris cher, j’ai tenu le choc. Mais il faut savoir être raisonnable. »
C’en est donc fini des échanges savoureux, des plaisanteries matinales et des viennoiseries partagées avec son "duo préféré"...
Une page se tourne. Adèle Van Reeth, la directrice de France Inter,a d’ailleurs salué son talent unique, toujours dans Télérama : « Claude a réinventé la revue de presse. Avec son ton, sa chorégraphie. Il l’a convertie en exercice de style. Beaucoup d’auditeurs l’écoutent parce que c’est lui. Et certains le regardent en vidéo pour sa gestuelle ! ».
Elle a également indiqué vouloir « se laisser du temps » avant de désigner son remplaçant, soulignant combien la tâche s’annonce ardue.
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