
Kate Middleton s’apprête à vivre une période difficile avec son traitement contre le cancer. Mais la princesse de Galles est déterminée à garder le moral et à maintenir un rythme de vie actif.
C’est un Laurent Ruquier à cœur ouvert qui s’est confié ce mercredi 7 mai au micro de Léa Salamé sur France Inter.
Venu initialement évoquer son dernier ouvrage, l’animateur de 62 ans n’a pas hésité à plonger dans des souvenirs plus intimes, abordant pour l’occasion son enfance, le souvenir de sa défunte mère, et même ses "fantasmes" actuels... avec une explication pour le moins surprenante.
Au cours de cet échange avec son ex-compère sur France 2, Léa Salamé a délicatement soulevé une blessure d’enfance.
« Il y a une chose qui vous marque aussi et qui va vous marquer, c’est qu’elle ne vous a jamais dit que vous étiez beau, alors qu’elle vous aimait », a-t-elle demandé.
Une remarque à laquelle Laurent Ruquier a d’abord réagi avec une pirouette – "Peut-être parce que je ne l’étais pas ».
Et de confier, plus gravement : « Non mais ce qui est terrible, c’est qu’on lit le truc et qu’on se dit : ’Voilà exactement ce qu’il faut ne pas faire avec ces enfants’ (...). Ce sont des pages très touchantes ».
L’animatrice de France Inter a alors enfoncé le clou, rappelant la douleur de ces non-dits : "En fait, elle ne vous disait pas que vous étiez beau. Pire, elle disait : ’ton père est beau, tes frères sont beaux", et puis elle s’arrêtait là".
Une observation que l’ex-chéri d’Hugo Manos a tristement confirmée : « Oui, c’est vrai. Mes parents disaient des choses qu’on ne dit pas devant les enfants normalement ».
Selon l’analyse de la psychanalyste Marcela Iacub, l’ex-de DSK, cette carence affective, ce manque de validation maternelle sur son physique durant ses jeunes années, pourrait expliquer pourquoi l’animateur serait aujourd’hui « autant attiré par la beauté et le physique ».
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