« Même si le titre de “femme de l’année” me fait plaisir, j’estime que je ne le mérite absolument pas, sans aucune fausse modestie », confie tout d’abord celle qui partage la vie d’Olivier Guez, en évoquant son titre de « femme de l’année » décerné par le magazine « GQ ».
« J’ai été très exposée cette année, c’est ma plus belle année professionnelle. Chaque matin, je me pince toujours pour croire ce qui m’est arrivé », ajoute la jeune femme avant de revenir sur ses arrivées dans le rendez-vous hebdomadaire de Laurent Ruquier sur « France 2 » et sur France Inter.
« J’avais peur de trébucher, de mal faire, d’être à coté, que ce soit sur France 2 ou France Inter. Il faut se rendre compte que je suis passée de 120 000 spectateurs les grands soirs sur I>Télé à une émission de talk-show qui fait des pics à 3,5 millions, le samedi soir. De la même manière, la matinale d’Inter est sans doute l’une des plus exposées », glisse-t-elle, avant d’évoquer ses différences avec Natacha Polony et Aymeric Caron.
« Pour moi, il était hors de question de jouer la fille de droite ou de gauche », souffle-t-elle avant de poursuivre : « contrairement à Natacha Polony ou à Aymeric Caron où on peut plus facilement prévoir ce qu’ils vont dire car ils sont dans un mode de pensée systémique, idéologique, je suis beaucoup plus nuancée. Dans un monde très manichéen, je revendique le gris, même si c’est moins vendeur, moins efficace ».