Le frère de Brigitte Macron perturbé par de drôles de visites
Depuis plusieurs mois, Brigitte Macron est la cible d’une rumeur persistante et odieuse l’accusant d’être une femme transgenre. Ces allégations, selon lesquelles elle serait née homme et aurait usurpé l’identité de son propre frère, ont poussé le couple présidentiel à réagir, mais elles ont aussi des conséquences directes sur le mystérieux Jean-Michel Trogneux.
Selon Le Figaro, le vrai Jean-Michel Trogneux, frère de la Première dame, reçoit régulièrement « la visite de ’brigittologues’ à son domicile d’Amiens » depuis que cette théorie du complot a émergé.
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Le frère de Brigitte Macron dont une photo était dévoilée par le magazine Closer, subit donc les contrecoups de cette affaire.
Lassés par cette cabale, Brigitte et Emmanuel Macron ont décidé de porter plainte en juillet dernier contre l’influenceuse conservatrice Candace Owens aux États-Unis.
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La jeune femme, qui propage la rumeur depuis des mois, avait même affirmé en mars 2024 qu’elle mettait « toute sa réputation professionnelle » en jeu dans cette affaire. Dans leur plainte, les Macron reprochent à l’influenceuse d’avoir « ignoré toutes les preuves crédibles réfutant ses allégations afin de donner une tribune à des théoriciens du complot connus et à des diffamateurs avérés ».
En août dernier, Emmanuel Macron s’était d’ailleurs agacé contre Candace Owens dans Paris Match : « Il s’agit de défendre mon honneur ! Parce que c’est n’importe quoi. C’est quelqu’un qui savait très bien qu’elle détenait des informations fausses et le faisait dans le but de nuire, au service d’une idéologie et avec des connexions établies avec des dirigeants d’extrême droite », avait-il déclaré.
L’avocat américain du couple, Tom Clare, a révélé le 18 septembre, lors d’un podcast de la BBC, la stratégie radicale adoptée devant la justice américaine.
Le couple présidentiel français va « présenter des photographies et des preuves scientifiques à une juridiction américaine pour prouver que Mme Macron est bien une femme ».
Tom Clare a ajouté, révolté : « C’est extrêmement révoltant de penser que vous devez vous soumettre à cela, présenter ce type de preuve ». Une affaire qui est loin de trouver son point final.
