
Lors de son passage au JT de 13 heures sur TF1 le 10 janvier, Brigitte Macron a été confrontée à la question brûlante soulevée par les propos d’Emmanuel Macron sur l’affaire Gérard Depardieu.
Karine Le Marchand est affichée en Une de France Semaine, qui la prétend dans l’enfer de la drogue. « touchée, elle doit mener un terrible combat ».
En réalité, si l’animatrice star de M6 est touchée, c’est indirectement.
Dans les colonnes de ce magazine people au tirage discret, il est fait référence à Alya, la fille de Karine Le Marchand, âgée de 21 ans.
Comme le rappelle la publication, il y a quelques semaines, elle a été arrêtée au volant pour conduite sous l’effet de stupéfiants. Et elle a dans la foulée placée en garde à vue avant d’être relâchée.
Sans être elle-même une célébrité, la jeune femme dont l’identité du père demeure secrète, a fait les gros titres de la presse.
Alya subit de plein fouet la célébrité de son illustre mère, laquelle s’est empressée de lui apporter son soutien.
« Avoir 21 ans n’est pas facile. Être ma fille non plus. Je suis désolée que ma notoriété ne t’épargne rien. Je t’aime jusqu’aux étoiles », a notamment écrit Karine Le Marchand dans son long message sur Instagram.
Dans son lent post, elle a rappelé avoir déposé une plainte, il y a quatre ans, contre « trois policiers véreux du commissariat de la rue de La Faisanderie » à Paris. C’est là que sa fille s’est retrouvée en garde à vue sa fille suite à un contrôle.
« son test salivaire s’est révélé positif » au cannabis.
Karine Le Marchand accuse depuis plus de trois ans ces officiers d’avoir « vendu des infos » à une autre personne contre laquelle elle intente aussi une action en justice : « Mimi Marchand, la papesse de la presse people, pour tentative d’extorsion de fonds. »
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