Karine Le Marchand dans l’enfer de la drogue, touchée, elle doit mener un terrible combat
Karine Le Marchand est affichée en Une de France Semaine, qui la prétend dans l’enfer de la drogue. « touchée, elle doit mener un terrible combat ».
Karine Le Marchand a un « côté princesse ». Marie Genest, la productrice d’ADP, balance
Si Karine Le Marchand affirme ne pas avoir de comportement de diva sur le plateau de « l’Amour est dans le pré », la production de cette émission de dating livre une tout autre version.
Début octobre, l’animatrice s’était emparée de sa page Twitter pour répliquer au magazine Gala qui recueillait les confidences d’un membre de la production de L’amour est dans le pré, qui ne s’était pas privé de balancer sur l’animatrice de M6.
« Parfois, elle exige de rentrer le soir à Paris. Ce qui est un vrai casse-tête pour la prod’ », lâchait cette source qui s’exprimait sous couvert d’anonymat, prétendant que Karine Le Marchand refuserait de quitter ses talons hauts même pour tourner dans les fermes.
« Le problème c’est que ce n’est pas pratique pour marcher dans la terre. Du coup, la production place une sorte de tapis en mousse assez épais, bien sûr invisible à l’antenne, sur le terrain des agriculteurs », indiquait ce membre de la production.
La réplique de Karine Le Marchand ne s’était pas faite attendre.
« Je lis en riant un article qui dit que je mets des talons à la campagne et qu’on doit me dérouler un tapis de mousse ! #kilsontcons », écrivait-t-elle sur Twitter.
Et d’ajouter : « Mess aux « journalistes » qui veulent me faire passer /Princesse, je ne m’essuie pas après popo avec des feuilles d’or…#caricaturedebile ».
Ce propos est en partie mis en doute par Marie Genest, la productrice de l’Amour est dans le pré, contactée par Télé-Star ».
« Elle a été chouchoutée par sa maman. C’est sans doute là qu’il faut chercher l’origine de son côté princesse », explique-t-elle avant de préciser toutefois que « ce serait une erreur de la réduire à ça ».
« C’est la manière qu’elle a trouvée pour exprimer son féminisme et s’imposer dans un milieu très masculin. Je la vois comme une power woman qui veut venger les autres femmes », insiste Marie Genest.
Ces articles devraient vous intéresser :
