C’est ce que rapporte le magazine « Gala », qui consacre un long dossier à cette idylle présidentielle, trois ans après sa révélation par le magazine « Closer ».
Et au détour de cet article documenté, sont rappelées les paroles présidentielles.
D’après François Hollande, « Julie Gayet souffre d’être suspectée d’obtenir des financements pour ses films depuis qu’elle partage sa vie ».
« Il lui a conseillé de multiplier les expériences pour exister par elle-même ».
Pour l’occasion, Gala publie une photo de la première-dame au festival d’Angoulême. On la découvre en pleine promenade avec une amie.
L’été dernier, Julie Gayet était aussi à Cannes non pas en tant que première-dame, mais en tant que productrice.
Co-présidente de la société de production « Rouge international », la première-dame officieuse avait notamment suivi avec beaucoup d’attention la présentation, dans le cadre de la Semaine de la critique, de « Grave », un film de la réalisatrice Julia Ducournau qu’elle a co-produit.