Jacques Legros, l’horrible agression de son fils !
C’est un cri du cœur surprenant qui a révélé un drame intime pour Jacques Legros. L’ancien joker du JT de TF1 a été « frappé en plein cœur » en évoquant l’agression subie par son fils, Gabriel (20 ans), dans l’émission Estelle Midi sur RMC.
Cette séquence est rappelée par le magazine France Dimanche dans les colonnes de sa dernière édition.
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L’animateur réagissait à la condamnation de Nicolas Sarkozy, mais son propos a rapidement pris une tournure très personnelle. « Il y a trop de gens dangereux dans la rue ! Il y en a beaucoup trop avec des couteaux, qui peuvent passer à l’acte », a-t-il lâché, visiblement bouleversé.
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Il a dénoncé le manque d’efficacité de la justice, affirmant que le problème résidait dans le fait que certains agresseurs ne sont « pas incarcérés à temps » ou « libérés trop tôt ». Un discours qu’il a justifié par une expérience personnelle traumatisante : « Je l’ai vécu dans ma chair avec mon fils il y a quatorze ans ».
Ce père de deux enfants – Tatiana (45 ans), issue d’une première union, et Gabriel, né de son mariage avec Valérie – a ajouté : « Il y a de quoi douter un petit peu de l’efficacité, certes, mais aussi de l’équité de la justice ».
Si Jacques Legros est resté « à demi-mot » sur la nature exacte de cette « horrible agression » subie par son « cher enfant », il a toutefois révélé un détail déchirant : « Ce n’est toujours pas réglé ».
Le journaliste s’interroge sur l’« impartialité de notre système judiciaire », se demandant pourquoi les dossiers impliquant des personnalités publiques (comme Nicolas Sarkozy) semblent bénéficier de plus de « célérité » que ceux qui « paraissent bloqués depuis des années ».
Malgré la persistance de cette affaire, le septuagénaire a livré une note plus réjouissante sur son fils. Aujourd’hui, Gabriel vit aux États-Unis où il « poursuit avec bonheur des études de musique ». « Il chante divinement bien » et « fait de la composition musicale et de la direction d’orchestre », avait confié Jacques Legros en mai dernier. Des nouvelles réjouissantes qui doivent « sans nul doute apaiser colère et angoisses d’un papa » !
