
Dans une récente interview accordée à Télé Magazine, Karine Le Marchand s’est confiée sur sa vision de l’amour et de la relation amoureuse.
À quelques jours du grand retour d’Une ambition intime, Karine Le Marchand s’est confiée à Télé Star sur les coulisses de la nouvelle saison. L’animatrice a évoqué sans détour les refus auxquels elle a dû faire face… et notamment celui de Gabriel Attal, l’ancien premier ministre.
Alors que l’émission de M6 revient à l’antenne le 1er juin avec un casting politique éclectique — Gérald Darmanin, Fabien Roussel, Jordan Bardella ou encore Sandrine Rousseau — une absence ne passe pas inaperçue : celle de l’ancien Premier ministre.
Contacté par la production, Gabriel Attal, qui a un lien particulier avec le roi Charles III, a décliné l’invitation.
La raison de son refus est précisée par l’amie de Stéphane Plaza. Le député et patron de Renaissance avait craint des questions sur sa vie privée. Une rumeur le prétendait plus que proche d’Olivier Véran, l’ancien ministre de la Santé.
« Je pense à Gabriel Attal que j’avais contacté et qui ne voulait pas parler de sa vie intime amoureuse, n’étant pas à l’aise avec ça. Or, je pensais qu’il y avait beaucoup de choses à en dire », a révélé Karine Le Marchand.
La star cathodique est à la fois compréhensive et évidemment déçue. Elle aurait apprécié avoir l’ex-protégé d’Emmanuel Macron dans ce programme.
La présentatrice a également levé le voile sur la méthode de sélection des invités, soigneusement orchestrée avec la chaîne.
« La sélection s’est faite avec la chaîne. On a voulu être complètement paritaires, en ayant un membre du gouvernement, le patron des communistes, le groupe Europe Écologie Les Verts et le président du RN. On a deux chefs de partis qui étaient vraiment connus des Français il y a dix ans », a-t-elle expliqué.
Mais tout ne s’est pas déroulé sans heurts. L’animatrice a confié que certaines négociations ont été particulièrement laborieuses : « On a bataillé pour certains, parce qu’entre le ‘oui’ sur le papier, et l’en... », a-t-elle commencé, avant de s’interrompre, laissant planer le mystère.
« On a dû faire un break de six mois pendant la dissolution de l’Assemblée nationale, alors que j’allais tourner les portraits de Jordan Bardella et de Gérald Darmanin », a-t-elle raconté.
Enfin, interrogée sur un éventuel projet en vue des élections de 2027, Karine Le Marchand a été claire : « Non, je ne pense pas que j’aurai le temps de la mettre en boîte pour 2027. Or, on ne pourrait pas obtenir de bons résultats en n’y consacrant que trois semaines ou un mois », a conclu celle qui est officiellement célibataire.
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