Des détails étaient livrés à l’époque par le magazine espagnole Hola !
Afin d’assurer la présence de l’ensemble de la famille princière, notamment de sa tante Charlène de Monaco, l’égérie de Chanel aurait pris une décision louable pour préserver l’unité familiale.

Selon les informations de "Public" à l’époque, les préparatifs du mariage de l’héritière monégasque comportaient deux cérémonies distinctes : une cérémonie civile, suivie d’une cérémonie religieuse le mois suivant.
Initialement prévues dans le sud de la France, les festivités ont finalement eu lieu à Monaco sur trois jours afin de marquer l’événement . Cette décision aurait permis à Charlène de Monaco d’assister au mariage sans contrainte protocolaire. En effet, si le mariage avait eu lieu dans le sud de la France, la première dame monégasque aurait été contrainte de rester au Palais en l’absence de son mari, le prince Albert de Monaco, conformément au protocole. Ce serait dans un souci de continuité de la régence.
Grâce au choix de Charlotte Casiraghi de se marier dans sa principauté natale, les contraintes sont supposées avoir été levées. Ainsi, le prince souverain et toute la famille princière auraient pu assister aux célébrations, tandis que Charlène de Monaco aurait assumé avec élégance son rôle de représentante de la principauté en cas de besoin.
Ce geste délicat de Charlotte Casiraghi « démontre une fois de plus l’attachement de la famille princière de Monaco à l’unité et à l’harmonie, faisant de ce mariage un moment mémorable pour tous ».
Mais cette allégation s’était un peu dégonflée, puisque pendant la cérémonie civile organisée dans le sud de la France, Charlène de Monaco n’avait pas hésité à faire le déplacement, ce qu’elle n’avait pas fait pour le mariage de Pierre Casiraghi. Mais à l’époque, aucune photo de l’événement n’a été diffusée. C’était une consigne du Palais princier.