Charles III : « Il ne lui reste que 3 ans »

Charles III face au cancer « incurable », la famille royale sous le choc, et une dernière volonté bouleversante !
L’Angleterre est sous le choc ! La nouvelle est tombée comme un couperet : le cancer du roi Charles III est "incurable" !
Malgré une apparence digne lors du Trooping the Colour le 14 juin, la santé du monarque préoccupe.
Si l’on pensait qu’il était en rémission, la réalité est plus sombre, et la famille royale se prépare au pire, rappelle le magazine Ici Paris dans son édition de cette semaine.
Début mai, le Prince Harry avait déjà lâché une bombe sur la BBC en se livrant sur la maladie de son illustre père. Il avait inquiété sur son état.
« Je ne sais pas combien de temps mon père a encore à vivre. » , avait lâché le duc du Sussex.
La semaine dernière, une révélation de l’experte royale Camilla Tominey dans le Telegraph a fait l’effet d’un tremblement de terre.
Cette observatrice avisée de la famille royale affirme que le cancer du mari de la reine Camilla serait « incurable ».
Selon la journaliste, « il va probablement mourir ’avec’ le cancer, mais pas ’en raison de’ son cancer grâce au traitement auquel il se plie rigoureusement ». Une nuance qui ne masque pas la gravité de la situation.
Le roi, qui préparerait sans grande conviction son 80e anniversaire en 2028, se donnerait moins de trois ans à vivre.
Des signes ne trompent pas : Charles aurait commencé à préparer son "départ" en secret. Sa dernière volonté ? Réconcilier ses deux fils ! Il aurait initié un rapprochement avec Harry, espérant les réunir lors des prochains Invictus Games en 2027 à Birmingham. Harry, conscient de la fragilité de son père, a d’ailleurs déclaré : « Cela ne sert à rien de continuer à se battre. La vie est précieuse. »
Retrouver Harry, c’est aussi pour Charles retrouver ses petits-enfants, Archie et Lilibet, qu’il voit si peu.
« C’est une grande tristesse pour lui de ne pas voir plus souvent Archie et Lilibet », confie la spécialiste de la royauté Ingrid Seward. Le rêve d’un clan uni hante le roi, qui doit aussi composer avec des obligations royales allégées mais épuisantes. Il a défilé en calèche cette année, incapable de monter à cheval.
Plus symbolique encore : il ne devrait pas emménager à Buckingham Palace, le palais n’étant pas adapté à son état de santé. Une décision prise pour lui assurer un cadre de vie apaisant à Clarence House, sur les conseils de son médecin.
Dans cette épreuve, le roi fait preuve d’une sagesse et d’une dignité admirables, gardant son humour "so british". Charles sait qu’il ne guérira pas et prépare à la fois sa succession et ses affaires privées. Réconcilier ses enfants reste son plus grand désir et son plus grand défi.