Si Charlène de Monaco a été perçue sans son alliance il y a quelques semaines à Milan, c’est peut-être qu’elle l’aurait retirée pour la faire fondre. Ses doigts auraient grossi. Un signe d’une grossesse.
Si Charlène de Monaco rayonne depuis son retour à Monaco, après un bref séjour en Afrique du Sud, c’est grâce à la présence d’un être cher à ses côtés, et il ne s’agit pas de son mari.
Vanity Fair revient dans son numéro du 6 mars, sur l’apparition publique de la princesse le 22 février dernier. Elle était en effet entourée de son clan pour l’inauguration de la promenade Princesse Charlène, « l’allée centrale du tout nouveau complexe One Monte-Carlo érigé par la Société des Bains de Mer », une compagnie contrôlée par l’État monégasque, essentiellement tournée vers les métiers de l’hôtellerie-restauration, des jeux, du bien-être, des spectacles, du shopping et, plus largement, du tourisme de luxe.
Pour l’occasion, Charlène de Monaco était escortée non seulement par son mari, mais aussi de ses jumeaux, Gabriella et Jacques, ainsi que par Pierre Casiraghi.
Mais ce serait la présence de son père, Michael Wittstock, son plus grand soutien dans l’épreuve qui lui a aurait fait le plus grand bien.
Comme le révélait In Touch Germany, le père de la princesse aurait pris la décision de s’installer dans le sud de la France pour se rapprocher davantage de sa fille, échaudée par la pression liée à son statut.
La père de Charlène de Monaco reconnaissait que sa fille était soumise à une « pression intense » et qu’un jour, elle « pourrait craquer ».
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