Dans le microcosme monégasque, Charlène de Monaco fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps. Comparée à Marie-Antoinette pour ses dépenses extravagantes, l’épouse du prince Albert II se retrouve au cœur de controverses financières qui ébranlent le Rocher.
Des détails sont livrés par le magazine Ici Paris, qui qualifie l’ex nageuse de Marie-Antoinette du Palais.
Pour conforter son propos, l’hebdomadaire se base les carnets secrets de Claude Palmero, ancien grand argentier de la principauté. Ils sont en partie publiés par « Le Monde ».
Charlène de Monaco aurait dépensé la somme vertigineuse de 15 millions d’euros en huit ans, le double des dotations prévues pour la même période. Des dépenses qui suscitent des interrogations quant à la gestion des finances de la famille princière.
Parmi les révélations, on apprend que l’épouse du prince Albert de Monaco aurait nécessité un versement de 600 000 euros en urgence pour combler son découvert bancaire.
Des situations financières délicates, accompagnées de demandes de liquidités importantes, comme les 77 000 euros en espèces réclamés à un autre moment.
Comme le relaye Ici Paris, les dépenses somptuaires ne s’arrêtent pas là. Assistants dédiés, nounous pour les jumeaux Jacques et Gabriella, et des vacances dignes d’une rock star en Corse semblent faire partie intégrante du train de vie de l’épouse du prince Albert de Monaco. Des éléments qui alimentent les spéculations sur sa propension à la "folie des grandeurs".
La révélation de ces détails financiers a également conduit à la mise à l’écart brutale de Claude Palmero, qui a été le comptable de la famille princière pendant près de vingt-cinq ans.
La plainte déposée par le prince Albert et ses sœurs contre lui pour abus de confiance et vol ajoute un volet judiciaire à cette affaire.
Alors que Claude Palmero conteste les accusations, les chiffres dévoilés sèment le doute sur la gestion des finances au sein de la famille princière de Monaco, précise la publication.
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