
Charlène de Monaco a brillé lors du Grand Prix de Monaco, vêtue d’une robe bleue afin de célébrer la victoire de son compatriote Charles Leclerc. Cependant, une absence au sein de la famille royale a suscité des interrogations.
Après avoir mis fin à une addiction aux somnifères, Charlène de Monaco déplorerait une autre addiction, évoquée par un magazine allemand.
L’an dernier, alors que la première dame du Rocher était au fond du seau en Afrique du Sud, le magazine Voici f aisait état addiction aux somnifères et aux antidouleurs.
Mais depuis, cette dépendance serait terrassée.
Le prince Albert, le père de ses adorables jumeaux, lui a été d’une aide précieuse. Il le confiait lors d’un entretien accordé à People.
« Elle savait déjà que la meilleure chose à faire était d’aller se reposer et de suivre un vrai traitement encadré médicalement. Elle a réalisé elle-même qu’elle avait besoin d’aide, disait le prince souverain de Monaco. On ne peut pas forcer quelqu’un à comprendre qu’il a besoin d’un traitement, il doit l’accepter lui-même ».
Et d’après l’édition allemande de In Touch, la première dame souffrirait d’une autre « addiction », celle des vêtements de luxe, et cela cacherait un mal-être profond.
Elle aurait dépensé 740 000 euros en un an, soit l’équivalent d’environ 11 000 euros par pièce.
« Pourquoi Charlène, qui est issue d’un milieu modeste et est considérée comme terre-à-terre, est-elle si obsédée par cette consommation effrénée ? (…) Il semble plutôt que la princesse veuille compenser son mal-être derrière les murs du palais de Monaco avec des vêtements coûteux de créateurs tels qu’Akris, Dior ou Armani. Fidèle à la devise : Je m’achète du bonheur ».
Ces articles devraient vous intéresser :