Charlène de Monaco : son appel bouleversant pour sauver des vies

– par Nolwenn A. Dalpiva
Charlène de Monaco : son appel bouleversant pour sauver des vies

À Monaco, Charlène s’impose une nouvelle fois comme une voix engagée. Ce 13 septembre, à l’occasion de la Journée mondiale des premiers secours, l’épouse du Prince Albert a lancé un appel vibrant à la mobilisation.



Son objectif ? Faire de l’apprentissage des gestes qui sauvent une évidence pour tous.

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Derrière ce combat, une blessure intime. La disparition tragique de son petit cousin Richard, mort noyé à l’âge de 5 ans, reste une cicatrice indélébile.

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« Ce genre de douleur ne disparaît jamais vraiment », confiait-elle récemment. De cette épreuve, la princesse a choisi de tirer une force, transformant sa peine en un engagement universel.

Dans son message officiel, la mère des jumeaux Jacques et Gabriella a insisté sur son rôle de transmission : « À travers mon engagement constant avec ma Fondation et la Croix-Rouge monégasque, je m’efforce de sensibiliser le grand public et d’éduquer les jeunes afin qu’ils deviennent des acteurs responsables de la sécurité collective. »

Et les résultats sont là : en 2024, plus de 5 000 personnes ont été initiées aux premiers secours par la Croix-Rouge monégasque. Encore plus marquant, 100 % des élèves de la Principauté ont désormais reçu une formation de base. Une prouesse pour ce petit État devenu un véritable modèle.

Très investie, Charlène de Monaco n’hésite pas à mettre la main à la pâte. En mars dernier, on l’a vue à l’Espace Léo Ferré, lors d’un atelier organisé pour la Journée des droits des femmes. Un moment fort, qui illustrait combien ces compétences peuvent sauver des vies, notamment au sein des familles.

Si l’épouse du prince Albert est si engagée contre les noyades, c’est en raison de la mort d’un cousin, Richard. Ce drame, la maman de Jacques et Gabriella avait eu l’opportunité d’en parler dans le passé.

« Richard s’est noyé dans une rivière, tout près de la maison de mon oncle. Il n’avait que cinq ans. Ce fut dévastateur pour toute notre famille. Je crois que ce genre de douleur ne disparaît jamais vraiment », a-t-elle confié.