Le prince Harry aurait choqué Meghan Markle après avoir dévoilé un secret honteux pendant le procès l’opposant contre le Daily Mirror. Il était atteint par une maladie honteuse.
Dans les méandres de l’affaire des Dossiers du Rocher à Monaco, qui aurait pu cibler Charlène de Monaco et la fragiliser, l’enquête avance à petits pas, rapporte le Journal du Dimanche.
Depuis l’automne dernier, quatre personnages influents gravitant autour du prince Albert II se retrouvent pris dans les rets de cette affaire qui secoue la Principauté. Et voilà qu’une nouvelle péripétie vient de surgir : une enquête préliminaire pour "corruption" a été lancée. Le parquet général de Monaco préfère garder le silence à ce sujet.
Tout commence avec la création d’un site Internet anonyme à l’automne 2021, véritable bombe à retardement.
Des centaines de documents confidentiels, dont des courriels échangés entre Laurent Anselmi, chef de cabinet d’Albert II, Didier Linotte, président du Tribunal suprême de Monaco, Claude Palmero, expert-comptable et administrateur de biens du souverain, ainsi que Thierry Lacoste, avocat et ami d’enfance du prince, sont diffusés sans scrupules.
Le corbeau mystérieux à l’origine de cette mascarade pointe du doigt leur mainmise sur les projets immobiliers passés, en cours et à venir dans le micro-État monégasque, où le prix du mètre carré atteint des sommets stratosphériques.
Parallèlement, ce corbeau anonyme a pris soin d’envoyer une pluie de documents à plusieurs médias, révélant les liens troubles entre ces "Quatre Mousquetaires" de la couronne. Dans la tourmente, les proches du prince n’ont pas tardé à porter plainte à Monaco et en France pour laver leur honneur.
Depuis lors, deux individus suspectés d’être impliqués dans ces manœuvres sulfureuses ont été mis en examen en octobre dernier pour recel d’atteintes à un système informatique. Frédéric C., un entrepreneur belge de 60 ans, et Didier G., un Monégasque et fils d’un ancien joueur de l’AS Monaco, ont vivement nié leur implication dans cette sombre affaire.
Toutefois, les enquêteurs de la police judiciaire parisienne se heurtent à un véritable casse-tête pour identifier les véritables instigateurs de ces manigances. Des sommes colossales auraient été déboursées pour créer et héberger ce site Internet aux connexions internationales complexes.
Des rumeurs insidieuses circulent, insinuant que la princesse Charlène de Monaco aurait pu être la cible de cette machination perfide. Bien que ces ragots ne reposent sur aucune preuve tangible, ils alimentent les discussions animées dans la presse people.
Depuis le déclenchement de l’affaire, les spéculations vont bon train quant aux motivations réelles des auteurs de cette opération de déstabilisation. Certains affirment que Charlène aurait été visée pour sa supposée influence sur le prince Albert II et son implication dans les affaires de la Principauté.
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