C’était la grande crainte de Brigitte Macron, angoissée à l’idée que sa famille soit prise pour cible, comme le rapportait le magazine Closer.
D’après une information révélée « Le Parisien », six agresseurs présumés, comprenant six hommes et deux femmes, ont été appréhendés par les autorités et sont toujours en garde à vue. L’agression aurait été perpétrée dans le cadre d’une manifestation bruyante appelée "casserolade", en protestation contre la réforme des retraites.
L’événement s’est déroulé en parallèle de l’interview d’Emmanuel Macron au journal de 20 heures de TF1. Jean-Alexandre Trogneux, père de la victime, a expliqué que son fils avait été reconnu et pris à partie par des manifestants. "Il était 22 heures" lorsque Jean-Baptiste Trogneux rentrait chez lui, "et c’est à ce moment-là qu’ils se sont rués sur lui", a-t-il déclaré au Courrier Picard.
Le jeune homme aurait été frappé à la tête, aux bras et aux jambes. Les agresseurs présumés auraient également proféré des insultes à l’encontre du président, de son épouse et de leur famille, selon les précisions de Jean-Alexandre Trogneux à l’AFP.
La situation aurait été maîtrisée grâce à l’intervention de trois voisins, qui auraient fait fuir les agresseurs. Jean-Baptiste Trogneux était en observation en attendant un scanner mardi matin, a déclaré son père. "Cette agression a dépassé les bornes, je suis consterné", a-t-il déploré, soulignant qu’il n’avait aucun lien financier avec le couple présidentiel. Malgré cela, la chocolaterie Trogneux a été visée à plusieurs reprises depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à la présidence. "
Brigitte Macron n’a pas commenté cette sombre affaire.