Si son mari, candidat à l’élection présidentielle, « est infidèle », c’est qu’il n’est plus amoureux. Leur couple aura une forte probabilité pour imploser.
« Le jour où il sera infidèle, c’est qu’il sera amoureux. Ce n’est pas un homme de bagatelles, ça ne l’intéresse pas », confie celle qui pourrait devenir première dame à Anne Fulda, auteur de « Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait » (éditions Plon).
Mais ce qui caractérise surtout l’actuel candidat à la présidentielle, c’est « le besoin d’être admiré, de recueillir l’assentiment de ceux qu’il côtoie et plus particulièrement de ses aînés, ceux qui détiennent le pouvoir qu’il n’a pas », écrit au passage l’auteur avant d’ établir la longue liste des aînés subjugués par le « petit Macron ».
L’ascension d’Emmanuel Macron aurait été possible grâce au soutien de parrains prestigieux... et qui se sont parfois senti floués.
De Henry Hermand, homme d’affaires discret, à François Hollande, qui a reconnu en lui « le fils que tout le monde aimerait avoir ».
François Hollande, rapporte l’un de ses proches à Anne Fulda, « a eu le sentiment de s’être fait berner. Macron était tellement sympa, joyeux... Il n’a pas pensé que l’autre était en train de lui piquer sa montre ! »