En 2018, lors d’une visite officielle aux États-Unis, Melania Trump a fait part de ses préoccupations à Brigitte Macron concernant son fils Barron. Une conversation sur le harcèlement scolaire a eu lieu en marge d’une rencontre tendue entre les équipes des présidents Donald Trump et Emmanuel Macron. J
Jean-Michel Blanquer, alors ministre de l’Éducation nationale, s’est joint à la discussion à l’invitation de Brigitte Macron.
Dans son ouvrage La Citadelle, paru le 28 août dernier, Blanquer se confie sur cet échange marquant. Selon lui, la First Lady américaine a évoqué les moqueries dont son fils Barron avait été victime à l’école.
Très touchée par cette situation, Melania Trump s’est engagée à sensibiliser au problème du harcèlement scolaire, un sujet sur lequel Brigitte Macron et elle-même ont trouvé un terrain d’entente. Le compagnon d’ Anna Cabana raconte : "La First Lady expliquait que son fils avait été victime de moqueries dans sa scolarité et qu’elle était très sensible au sujet."
L’ancien ministre a alors détaillé les mesures mises en place en France pour lutter contre ce fléau, précisant que son ministère élaborait un plan inspiré des meilleures pratiques internationales. Melania Trump a ensuite insisté sur l’importance de responsabiliser les grandes plateformes numériques, comme les GAFAM, face à l’ampleur du cyberharcèlement.
Jean-Michel Blanquer a été frappé par l’attitude de Melania Trump, qu’il a trouvée "plus humaine et plus naturelle que ne le laissait croire son image".
Cette rencontre l’aura marqué, tout comme la campagne anti-harcèlement menée par l’épouse de Donald Trump.
En 2017, Melania Trump avait déjà pris position sur ce sujet, lors d’une visite à l’Orchard Lake Middle School dans la banlieue de Detroit, où elle avait encouragé les élèves à faire preuve de gentillesse et d’inclusion envers leurs camarades.
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