Le prince Albert de Monaco s’est livré face aux caméras de TF1, à l’occasion du couronnement de Charles III. Et il lui est reproché un « acte » indélicat contre Charlène de Monaco. !
Finalement, et après un an de bataille, le prince Albert de Monaco en a fini des accusations d’une Brésilienne, qui l’a poursuivi en reconnaissance de paternité. Elle affirme que le prince est le père de sa fille âgée de 16 ans.
Son immunité diplomatique a été invoquée.
Une Brésilienne qui serait âgée d’une trentaine d’années avait en effet porté plainte devant le tribunal de Milan en Italie, où elle serait désormais installée, pour lui faire reconnaître la paternité d’une adolescente de 16 ans.
L’identité de cette dernière n’a pas été précisée. Elle lui avait écrit une lettre pour le supplier de se soumettre à un test de paternité.
Charlène de Monaco aurait très mal vécu cette révélation et pour cause !
L’enfant serait né au début de sa relation avec le prince Albert de Monaco.
Comme l’évoquait Stéphane Bern dans un article paru dans Paris Match fin juillet, sa folie capillaire de l’an dernier serait le geste d’une femme blessée.
Mais d’après Townandcountrymag, repris par le Daily Mail, cette affaire ne sera jamais jugée.
Le prince Albert a en effet invoqué son immunité diplomatique, et ne serait donc pas soumis à un test ADN, comme l’espérait la Brésilienne . D’après le Soir Mag, elle serait "une professionnelle".
Cette affaire ne pourrait donc plus se régler qu’en amiable.
Prévue par la Convention de Vienne, l’immunité diplomatique « est une protection offerte par les États aux diplomates et leur famille basés à l’étranger. Le principe de l’immunité diplomatique est celui de l’inviolabilité ».
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