Bernard Montiel s’est porté au secours de Brigitte Macron, ciblée par la presse américaine suite à ses déclarations sur Emmanuel Macron. Elle était sa professeur de théâtre au lycée Providence à Amiens.
Anéantie par le disparition de Samuel Paty, professeur de collègue, tué par un terroriste russe de 18 ans, Brigitte Macron ne pourrait qu’applaudir le commentaire guerrier du chef de l’État. Plus question de transiger avec le terrorisme et l’islamisme radical.
Et ce commentaire en petit comité du président de la république est repris par le dernier numéro du Canard Enchaîné.
""L’ennemi est clairement identifié. Il veut notre mort. Nous allons donc livrer un combat à mort", a-t-il lancé.
Et au mari de Brigitte Macron de poursuivre : "La République est une bonne fille, mais elle ne se laissera pas violer".
Brigitte Macron a évidemment été touchée par la disparition de Samuel Paty, qui a exercé le même métier qu’elle.
Elle lui a rendu un dernier hommage dans une lettre empreinte d’émotions.
Aujourd’hui avec vous nous sommes tous Profs", écrit l’épouse du chef de l’Etat, qui a pu assisté à la cérémonie organisée à la Sorbonne.
"C’est transmettre et anticiper, préparer les cours avec une attention particulière, parce que chaque leçon est importante ; C’est entrer dans une classe et s’y sentir à sa juste place ; C’est repérer une lueur que l’on a pu allumer dans les yeux des élèves, c’est aussi remarquer quand ils décrochent et aller les récupérer ; C’est être heureux quand vous les avez fait réagir à ce qui vous émeut ; C’est avoir de l’ambition pour eux et leur ouvrir les portes car celles de l’esprit et de la connaissance sont infinies ; C’est développer leur esprit critique pour les rendre libres", a par ailleurs écrit Brigitte Macron.
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