Vanessa Paradis : « J’ai pu en souffrir », ses confidences sur le cinéma

– par Nolwenn A. Dalpiva
Vanessa Paradis : « J'ai pu en souffrir », ses confidences sur le cinéma

Alors qu’elle est de retour sur le devant de la scène musicale avec son huitième album, Le Retour des beaux jours, qui sort ce vendredi 10 octobre, Vanessa Paradis s’est confiée sans filtre à Madame Figaro. La chanteuse et actrice, qui a réalisé cet opus en collaboration avec Étienne Daho et Jean-Louis Piérot, a notamment abordé son parcours dans le 7e Art.



Si son nouvel album est un projet très personnel —ses deux enfants, Lily-Rose et Jack Depp,, figurent sur deux des douze chansons — l’artiste est revenue sur les périodes où les propositions de films se faisaient rares.

« J’ai pu en souffrir parce qu’il y a eu des périodes où j’avais envie et besoin de cinéma et que rien ne se présentait », a-t-elle avoué lors de l’interview accordée ce jeudi 9 octobre.

Pour autant, l’épouse de Samuel Benchetrit refuse de s’engager dans des projets qui ne l’inspirent pas. Elle ajoute avec conviction : « Mais je ne vais pas faire du cinéma pour faire du cinéma, il faut que les films me plaisent et me parlent. »

Heureusement, cette période de disette semble révolue. Vanessa Paradis sera prochainement à l’affiche de plusieurs films. Elle sera notamment présente dans T’as pas changé, une comédie signée Jérôme Commandeur, et dans J’oublierai ton nom, le nouveau long-métrage de Yann Gonzalez.

L’artiste ne cache pas son enthousiasme face à cette nouvelle dynamique : « Là, il serait mal venu de me plaindre : il y a le film de Jérôme Commandeur, et aussi le troisième film de Yann Gonzalez, que j’aime à la folie, avec qui j’ai déjà tourné et qui m’a proposé un personnage très différent dans un film de genre », a-t-elle souligné avec joie dans les colonnes du magazine.