
Thomas Sotto, le co-animateur de Télé-Matin sur France 2, se retrouve au cœur d’une polémique alimentée par les attaques virulentes sur les réseaux sociaux. Les critiques fusent après son interview jugée musclée avec Eric Ciotti, le patron de Les...
Thomas Sotto était l’invité de « Quotidien » sur TMC vendredi soir, où il est revenu sur son licenciement d’Europe 1 en juin dernier.
« J’ai été viré salement », a regretté le journaliste, avant d’expliquer qu’Europe 1 « avait été une histoire d’amour de quatre ans qui s’est mal terminée ».
’Je me suis fait larguer », déplore l’ex présentateur de la matinale, qui estime que les fuites sur son salaire, sont « choses élégantes », qui ont fait partie de son licenciement.
« Ce sont des boules puantes, je sais d’où cela vient », dit-il dans le cadre de cette émission présentée par Yann Barthès.
« Je ne sais pas pourquoi cela s’est passé comme ça, je crois qu’ils avaient prévu de me remplacer il y a longtemps mais j’ai pas cherché à en savoir plus. C’est comme ça », a finalement commenté celui qui a rejoint France 2 où il anime le magazine Complément d’enquête.
Il sera aussi joker de Laurent Delahousse à la présentation des journaux du week-end.
En juillet dernier, pour sa dernière à Europe 1, Thomas Sotto était très ému et a failli lâcher quelques larmes, en remerciant ses équipes.
« Je vais faire simple, j’ai aimé me lever en pleine nuit pour vous, vous de l’autre côté du poste, vous tous ici à Europe 1. Je dois vous remercier car pendant quatre ans vous avez été l’excuse idéale pour échapper à quelques pince-fesses », avait débuté le journaliste, qui avait visiblement préparé son discours.
« Je ne peux citer toutes celles et ceux qui ont compté pour moi dans cette maison, dans cette rédaction. Mon irremplaçable Victoire, qui à force d’arriver de plus en plus tôt et de partir de plus en plus tard finira un jour c’est sûr par se croiser, me dirait que ça va prendre trop de temps et surtout je vais en oublier alors c’est Europe 1. ».
« Et puis si je devais vous laisser un petit post-it, une petite liste de courses, j’écrirais deux-trois trucs. Roger, n’oublie pas de gagner Wimbledon. Au CIO, je dirais de penser de bien nous attribuer les JO de 2024. À Patrick (Cohen), je te souhaite de prendre du plaisir et de réussir pleinement, vraiment. En entrant dans ce studio, tu trouveras deux inséparables, Julie et Laurent Cabrol et si je peux me permettre un tout petit conseil, il faut toujours écouter ce que Julie et Cabrol ont à te dire », ajoutait Thomas Sotto.
« À Jean-Jacques Goldman, tu devrais faire comme Michel Sardou, il refait une tournée lui donc tu vois c’est possible, on se voit quand tu veux pour en parler. À Nicolas Canteloup , je voudrais dire aussi qu’il va pouvoir dormir tranquille puisqu’il perd son concurrent le plus sérieux, je sais qu’il n’a jamais osé le dire, mon imitation de Chirac l’a toujours beaucoup inquiété et impressionné », avait-t-il déclaré.
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