En plus de graves dissensions avec Eric Zemmour comme le révélait le magazine Public, Sarah Knafo est rattrapée par une rumeur qui aurait fait terriblement mal. Ce bruit est exhumé sur les réseaux sociaux.
Eric Zemmour et surtout Sarah Knafo, son réservoir à idées, sont étrillés par Nicolas Sarkozy, qui n’est autre que l’ex- beau-père de la magistrate à la Cour des Comptes.
Ce dernier a profité d’une visite au Chinese Business club ce 8 novembre 2021 pour envoyer quelques salves. Une certitude, il n’a pas retenu les coups contre le candidat putatif à la présidence de la République, alors que la conseillère de celui-ci est une ex de Louis Sarkozy. Elle aurait aussi eu dans son collimateur Jean, l’autre fils de l’ancien président.
Elle était intéressée par le nom, symbole de pouvoir », a raconté une connaissance qui se livre sous couvert d’anonymat. Ainsi, elle a pu dire qu’elle dormait parfois chez un président de la République ».
Le Monde assurait que « la seconde femme » d’Eric Zemmour était engagée dans une relation amoureuse avec le fils de l’ancien président de la République.
« Une amourette de quelques mois. Sarah n’avait que 20 ans. Depuis son compte a été totalement nettoyé et cette relation, contrairement à une autre, n’est plus qu’un lointain souvenir », commentait la publication.
Ces liens « familiaux » sont occultés par Nicolas Sarkozy, qui doute de la crédibilité d’Eric Zemmour pour se présenter à la présidence de la République, un avis qui n’est pas partagé par sa conseillère.
« Toute parole ne se vaut pas, tout le monde n’est pas capable d’être un homme d’État... Le droit à la parole n’existe pas. Ça se mérite. Tu veux monter sur scène ? Ok, c’est 40 ans de cicatrices », a lancé Nicolas Sarkozy.
« Comparer Zemmour à de Gaulle. C’est fort, c’est fort... Mais peut-être n’avez-vous pas entendu ce qu’il a dit de Pétain. Je ne suis pas sûr que le Général de Gaulle aurait forcément apprécié ce qu’il a dit de Pétain », ajoute le mari de Carla Bruni.
« Les candidats se réclament de ce qu’ils veulent. Et quand on n’a pas beaucoup de racines, on essaye de s’en donner. Et plus on est hors-sol, plus on essaye de se raccrocher à un courant politique », étrille Nicolas Sarkozy.
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