Lily-Rose Depp s’offre un Noël romantique à Paris avec 070 Shake

– par Nolwenn A. Dalpiva
Lily-Rose Depp s'offre un Noël romantique à Paris avec 070 Shake

Ambiance amoureuse à Paris ! Lily-Rose Depp et sa compagne, la rappeuse 070 Shake, de son vrai nom Danielle, ont été aperçues le 5 décembre en pleine virée shopping dans la capitale française. Si la comédienne est à Paris avec sa « chère et tendre », c’est sans aucun doute pour passer les fêtes de fin d’année auprès de sa mère, Vanessa Paradis, et de son frère, Jack.



Sur une photo diffusée sur les réseaux sociaux, le couple est immortalisé en pleine « embrassade ». L’an dernier déjà, les deux jeunes femmes avaient passé les fêtes de fin d’année à Paris, accueillies par Vanessa Paradis et Samuel Benchetrit, un séjour qui avait déjà été « immortalisé par les paparazzi ».

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Les fans n’avaient pas tardé à commenter les clichés, soulignant pour l’occasion la complicité et le bonheur des deux jeunes femmes, qui « semblaient particulièrement heureuses ».

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Les commentaires étaient enthousiastes. « On dirait qu’ils portent des pantalons de survêtement assortis j’adore » ou encore « Oh mon Dieu, elles sont tellement mignonnes », peut-on notamment lire.

Pour les fans de l’actrice de 26 ans, cette relation amoureuse avec Danielle n’est d’ailleurs pas une surprise.

En effet, en 2015, Lily-Rose Depp avait participé à un projet photographique avec l’artiste engagée iO Tillett Wright, mettant en avant des personnes qui « s’identifient comme n’importe quoi d’autre que 100 % hétérosexuels ». Âgée de seulement 15 ans à l’époque et déjà égérie Chanel, cette photo avait « semé le doute » sur sa sexualité.

Elle avait cependant clarifié les choses plus tard auprès de Nylon : « Toute cette affaire a été mal interprétée. Beaucoup de gens l’ont pris comme mon coming out, mais ce n’est pas ce que j’essayais de faire ». « Je voulais juste dire qu’on n’est pas obligé de mettre une étiquette sur notre sexualité […] que les gens et les jeunes n’ont pas besoin de dire ‘je suis hétéro’ ou ‘je suis gay’ou ‘je suis ce que je veux’ », disait-elle par ailleurs. Elle avait insisté : « Fuyez les étiquettes, rien n’est gravé dans la pierre. C’est tellement fluide ».

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