Depuis son entrée dans la famille royale suite à son mariage avec le roi Felipe, l’ex journaliste s’affiche comme une femme forte capable de se gérer elle-même, et confiante sur son pouvoir d’attraction.
Celle qui serait enceinte était convaincue de donner une nouvelle image de la monarchie ouverte, enfin ouverte sur la société civile.
Mais cette confiance ne serait qu’en apparence selon les propos rapportés par l’ancien ambassadeur du Portugal, José de Bouza Serrano, qui publie un livre intitulé « Les vraies familles de notre époque », où il dresse le portrait des familles royales d’Europe et notamment espagnole.
« J’ai rencontré Dona Letizia à plusieurs reprises, c’est comme si elle avait deux visages : d’un côté, elle semble manquer de confiance mais de l’autre, elle affiche une ambition à toute épreuve », affirme-t-il selon les propos rapportés par Bekia.
Mais elle regretterait « son passé de divorcée », un statut que l’aristocratie espagnole ne lui ’pardonne pas’, comme elle ne lui en veut pour « son attitude désagréable avec sa belle-mère, une reine (...) bien aimée de tous ».
L’ancien ambassadeur affirme par ailleurs que la monarchie espagnole est la plus fragile d’Europe.