Juan Carlos règle ses comptes avec Letizia d’Espagne dans ses mémoires choc : « Elle n’est jamais venue » !

– par Nolwenn A. Dalpiva
Juan Carlos règle ses comptes avec Letizia d'Espagne dans ses mémoires choc : « Elle n'est jamais venue » !

C’est une véritable bombe qui vient d’atterrir au cœur de la monarchie espagnole. L’ex-monarque Juan Carlos, embourbé dans les scandales depuis des années, publie une « autobiographie choc » intitulée Réconciliation (éd. Stock) où il « règle ses comptes » avec sa belle-fille, la Reine Letizia.



Et ses confidences sont reprises par le dernier numéro de Ici Paris.

L’ancien souverain, qui a abdiqué en 2014 au profit de son fils Felipe avant de s’exiler à Abou Dabi en 2020 suite à des soupçons de corruption (et après avoir provoqué un scandale en chassant des éléphants en 2012), revient sur l’arrivée de celle qu’il n’a « jamais apprécié » : cette « roturière, de surcroît divorcée », dans la famille royale.

Au fil des « cinq cents pages », Juan Carlos se lamente de ne pas avoir pu « construire une relation personnelle » avec la Reine Letizia. Il confie lui avoir « répété : la porte de mon bureau t’est toujours ouverte, viens quand tu veux, mais elle n’est jamais venue ».

Un épisode rapporté par Martin Bianchi dans son ouvrage Letizia en Vetusta en dit long sur leurs rapports tendus. Lors d’une réunion familiale avec des membres de la royauté grecque, l’ancien monarque aurait lancé à sa belle-fille : « Letizia, nous savons tous que tu es la plus intelligente ici, mais laisse les autres parler ».

L’ancien roi n’aurait par ailleurs par renoncé « à nuire à sa bru ». Avant son abdication, il aurait même « orchestré une campagne contre elle » en organisant des « fuites » vers les médias, révélant des rumeurs selon lesquelles Letizia aurait « fumé du haschich, posé nue pour un peintre, avait avorté, qu’elle était paranoïaque ».

Malgré son titre de Réconciliation, Juan Carlos confie aussi sa douleur face à son fils Felipe : « Mon fils m’a tourné le dos par devoir. Je comprends qu’en tant que roi il tienne une position publique ferme, mais je souffrais [...] qu’il se montre si insensible ». Son « vœu le plus cher » reste de « retrouver cette familiarité avec des paysages, des gens, des odeurs » en Espagne.

Toutefois, ce « mea culpa » pourrait être motivé par un besoin plus terre-à-terre : « Je suis le seul Espagnol à ne pas toucher de retraite après presque quarante ans de services », résume l’ouvrage. Pas sûr que cela suffise à obtenir le pardon de sa belle-fille !