Léa Salamé « Trop, c’est trop ! » Ses bourdes menacent son poste
C’est un « bruit de couloir » qui se propage dans les bureaux de France Télévisions : après seulement un mois et demi aux commandes du JT de France 2, la place de Léa Salamé au 20 Heures serait « compromise ».
La journaliste ne serait « plus en odeur de sainteté » auprès de la direction suite à des audiences qui « ne décollent pas » et une succession de « nombreuses bourdes » en direct.
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Comme le rapporte Ici Paris, en interne, la « chute de popularité » de l’animatrice s’expliquerait par plusieurs erreurs embarrassantes.
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Il y a d’abord eu ce moment « ultra gênant » où elle s’est emmêlé les pinceaux sur la date de sortie d’un film de Marion Cotillard, avant d’évoquer publiquement sa séparation d’avec Guillaume Canet pour lui poser une question intime devant des millions de téléspectateurs.
Un proche a confirmé que la journaliste a été autorisée à poser cette question par l’attachée de presse de l’actrice oscarisée.
De même, elle a confondu l’identité d’Henri Guaino, ancien conseiller, avec celle du ministre de l’Intérieur.
Le point de non-retour aurait été atteint ce lundi 13 octobre, lorsqu’elle a confondu le drame de Samuel Paty, professeur assassiné en 2020, avec celui de Dominique Bernard, l’enseignant poignardé il y a deux ans à Arras. Une « sacrée boulette » qui a contraint Léa Salamé à présenter ses excuses sur les réseaux sociaux. En interne, un mail a même été envoyé aux équipes, stipulant : « Ce type d’erreur ne peut pas se reproduire. (...). Nous allons devoir améliorer la chaîne de contrôle éditoriale des textes de nos éditions ».
Chez ses collègues, la frustration est palpable. « Trop, c’est trop ! », s’emporte l’un d’eux, tandis qu’un autre confie : « Elle n’est pas taillée pour le poste. Ce métier exige une certaine rigueur dont elle ne semble pas capable. Elle est très douée pour le divertissement, peut-être moins pour l’information ».
Un sentiment que partagerait désormais la direction de France Télévisions. Après lui avoir offert un « pont d’or » et un salaire « estimé à 25 000 euros par mois », la direction « chercherait potentiellement déjà un remplaçant ».
Une source interne nous rapporte : « La question que tout le monde se pose aujourd’hui dans le groupe, c’est : qui pourrait bien prendre sa place ? Et beaucoup sont intéressés ! ». Le téléphone de Delphine Ernotte « n’est pas près d’arrêter de sonner ».