
Eve Gilles, Miss France 2024, s’est laissé aller à quelques confidences lors d’un entretien accordé à Closer, où elle évoque non seulement sa phobie. Et elle a aussi refusé d’en dire plus sur la personne qui partage sa vie.
Invitée dans C l’hebdo ce samedi 26 avril, Claire Chazal s’est livrée sur son célibat, assumant pour l’occasion son indépendance et la fin d’une quête amoureuse.
Ce samedi 26 avril, sur le plateau de C l’hebdo, la suite, l’ancienne reine du JT de TF1 s’est confiée sur un sujet souvent délicat pour les femmes, particulièrement après un certain âge : le célibat. Elle a pris la décision de ne plus courir après l’amour. Et elle ne le regrette pas.
Face à Aurélie Casse, la journaliste a partagé avec sa vision de l’amour, de la solitude et surtout, de cette liberté à laquelle elle tient tant.
Interrogée sur ses propos tenus lors d’une interview où elle affirmait avoir « renoncé à l’amour », Claire Chazal a confirmé cette impression. La maman de François n’a pas fait machine arrière.
« C’est ce que je disais un peu : ce champ qui se réduit me laisse peu de possibilités », a-t-elle expliqué.
Et à Claire Chazal d’ajouter avec lucidité : « Ce n’est pas très grave parce que des vies s’organisent autrement. ».
Pour celle qu’une rumeur prétendait il y a peuavec un journaliste d’Europe 1, n’y a en effet « pas de tabou social » à vivre seule.
« On peut être une femme seule et entourée aussi, et vivre à sa guise, comme on a envie de le faire. », dit-elle.
« Moi, ça ne me pose pas de problème sur le plan de la société : je peux tout à fait assumer d’être une femme seule », a insisté Claire Chazal, désormais libérée des pressions sociales. « Ce sont des choses auxquelles on peut renoncer », a-t-elle admis, avant de reconnaître : « C’est peut-être dur ce que je dis, mais j’ai plutôt ce sentiment-là. Tout en étant pas mal. ».
Derrière cette acceptation, se profile également une certaine philosophie de vie. Pour Claire Chazal, l’amour n’est pas uniquement un rêve romantique : c’est aussi, parfois, un abandon nécessaire de sa propre autonomie.
« Une vie à deux, c’est aussi beaucoup d’efforts, beaucoup de concessions, c’est aussi moins de liberté peut-être... », a-t-elle souligné. Et de conclure, « Moi j’étais assez jalouse de ma liberté et c’est peut-être ça que j’apprécie finalement. »
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