Kate Middleton ira chercher son fils à l’école chaque jour

– par Chloe B. Arieux
Kate Middleton ira chercher son fils à l'école chaque jour

Dès la rentrée prochaine, Kate Midd­le­ton et le prince William iront le cher­cher tous les jours à l’école, histoire de lui donner l’éducation la plus normale possible.



Soucieux de lui offrir « une enfance aussi normale que possible », le duc et la duchesse de Cambridge n’hési­te­ront pas à braver les bouchons de la capitale britannique pour emme­ner le prince George « à l’école tous les matins, et aller le cher­cher le soir », rapporte Gala dans son numéro de cette semaine.

En septembre prochain, le prince George fera sa rentrée des classes à la Thomas Batter­sea School de Londres, situé à une demi-heure de route de Kensing­ton Palace. Malgré leurs emplois du temps surchargé, Kate et William se sont enga­gés à l’y emme­ner tous les matins et à aller l’y cher­cher tous les soirs a révélé une source au Daily Mail.

« Il est très impor­tant pour eux que George ait une enfance aussi normale que possible (…) et pour eux, cela inclut de l’ac­com­pa­gner jusqu’aux grilles de l’école ».

"Kate veut que George – et plus tard Char­lotte – ait la même expé­rience scolaire qu’elle lorsqu’elle était enfant. Elle et William pensent que George sera très heureux là-bas », a déclaré une autre source.
D’après le Daily Mail, le couple princier souhaitait que leur fils fréquente une école mixte pour permettre à sa soeur de le rejoindre plus tard.

Et ce n’est la seule raison. Kate Middleton et son homme ont choisi cette école privée où une année coûte plus de 5000 livres pour la qualité de ses élèves, des enfants des banquiers de la City. De quoi se créer un « réseau de connaissances » dès l’enfance.

La philosophie de l’école où il est « interdit aux élèves d’avoir un seul meilleur ami et encourage les enfants à entretenir des liens avec tous les enfants » a aussi séduit le couple princier.
Et lors de sa visite Natio­nal Portrait Gallery, l’épouse du prince William a rencontré quelques parents d’élèves et a clôturé cette discus­sion en plai­san­tant : « Nous nous croi­se­rons peut-être devant l’école ».