
Lors de l’émission des Grosses Têtes sur RTL le 26 juin, Valérie Trierweiler a évoqué la campagne de François Hollande en Corrèze pour les élections législatives.
De sa relation avec Julie Gayet, François Hollande en parle dans son livre, « Les leçons du pouvoir », dont les bonnes feuilles ont été publiées par le Figaro.
« Julie Gayet est entrée dans ma vie. Notre relation fut révélée dans les pires conditions, pour ma personne et pour la fonction. J’en porte la responsabilité même si je ne saurai jamais comment et par qui une presse sans scrupules a pu être orientée et guidée de cette sorte », écrit l’ex président de la république.
« Le choc fut rude. Valérie en fut profondément meurtrie. Notre séparation et les conditions de son annonce à laquelle elle n’a pas voulu s’associer ajoutèrent à la cruauté de la situation. Plus tard, dans un livre dont le succès fut retentissant, elle mit au jour ses blessures et exprima avec ses mots ce qu’elle avait vécu », poursuit François Hollande.
Et à l’ex chef d’Etat d’ajouter : « Ils m’ont fait mal. C’était sans doute son intention. Nous avons mis du temps pour échanger de nouveau. Mais j’ai été sensible au mot délicat qu’elle m’a adressé le dernier jour de mon mandat. ».
François Hollande rappelle que Julie Gayet est « un inestimable soutien ».
« Je peux le dire aujourd’hui : la tendre et délicate attention de Julie a été durant ces trois dernières années un inestimable soutien. Solidaire, présente mais suffisamment éloignée de la scène publique pour rester elle-même. Sans avoir besoin de jouer un rôle, elle était là, avec cette aspiration au bonheur qui rend la vie plus douce. Même à l’Elysée. », écrit-il.
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