
Christophe Dechavanne se retrouve au cœur d’une tempête médiatique après les accusations fracassantes de son ex-compagne, Nes, sur le plateau de "Face à Hanouna".
Ce 8 octobre, le tribunal de police de Blois a rendu son jugement dans l’affaire impliquant Christophe Dechavanne arrêté le 28 août dernier en fin d’après-midi, sur l’autoroute A71 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher).
L’animateur de TF1 avait été contrôlé à 230 km/h . Christophe Dechavanne s’en sort avec une suspension de permis de quatre mois et d’une amende de 1 000 euros.
Devant les juges, Christophe Dechavanne a expliqué les raisons de cet excès de vitesse. Il affirme avoir tenté de semer les occupants d’une grosse cylindrée qu’ils soupçonnaient de vouloir l’agresser.
« Je rentrais de Paris avec ma fille. Environ 45 kilomètres avant l’interception des gendarmes, une BMW s’est placée à ma hauteur. Le passager avant droit a regardé ma voiture qui est un véhicule convoité par les organisateurs de go fast (« aller vite ») est une technique utilisée par les trafiquants pour importer des produits stupéfiants, NDLR) », explique-t-il.
« La voiture a ralenti et s’est placée derrière moi. J’ai eu un pressentiment désagréable », confie-t-il. « J’ai ressenti du stress, des amis ont déjà été agressés pour leur voiture, je voulais protéger ma fille alors j’ai appuyé fort sur l’accélérateur pour les semer. Je les ai largement distancés ».
Dans cette affaire, Christophe Dechavanne risquait un retrait du permis de conduire assorti d’une interdiction de repasser l’examen pendant 3 ans, et une amende de 1 500 euros.
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