Si Charlène de Monaco souffre le martyre par les prétendues infidélités du prince Albert, sa belle-mère, la princesse Grace, c’était pire.
C’est le rappel de la journaliste Sophie Adriansen, auteure d’ Une Américaine à Monaco, consacre à la regrette princesse Grace.
« Bien que Grace eût affirmé à ses amies qu’elle se évouait à ses enfants et à ses sujets, et que Rainier », son mari, pouvait bien faire ce qu’il voulait », en r éférence à ses infidélités.
La mère du prince Albert de Monaco était blessée « chaque fois qu’on évoquait devant elle une nouvelle maîtresse ».
Les bruits et les rumeurs arrivaient souvent à ses oreilles. Tout le Rocher était au courant.
« Entre ses sorties, son propre yacht et l’appartement qu’il possédait à Monte-Carlo, Rainier passait plus de temps hors du palais que dedans », a précisé l’auteur.
Le regretté prince Rainier aurait toujours « à l’égard », de la mère de ses trois enfants des accès de colère.
Il se serait par ailleurs illustré par
« quelques paroles particulièrement cruelles, qui pimentaient son habituelle indifférence ».
La belle-mère de Charlène de Monaco avait adopté une étrange stratégie, celle de « la fuite ».
« Toutes les occasions étaient bonnes pour aller voir ailleurs si elle y était ».