Charlène de Monaco : des confidences troublantes avant son mariage avec Albert.

– par Christophe Wiedemann
Charlène de Monaco : des confidences troublantes avant son mariage avec Albert.

Peu avant d’unir sa destinée à celle du prince Albert en 2011, Charlène de Monaco traversait une période de doutes. C’est ce que révèle le photographe Julian Lennon (61 ans), fils de la star des Beatles, John Lennon.



Très proche de la famille princière, il a eu un accès privilégié aux coulisses du mariage princier il y a près de 13 ans et révèle aujourd’hui des confidences que l’actuelle princesse lui aurait faites juste avant la cérémonie.

Ces confidences sont relayées dans son livre « Les moments fragiles de la vie », publié par le photographe en septembre 2024. Charlène de Monaco apparait en couverture.

« Jules, je ne sais pas si je peux faire ça. », a déclaré l’ancienne nageuse à propos de son mariage avec le prince Albert de Monaco. Elle était sous pression et refusait d’être suivie à la trace par un photographe.

Ne comprenant pas immédiatement la nature de ses doutes, Julian Lennon l’a interrogée. Charlène de Monaco a alors précisé : « Je ne peux pas le faire, je ne suis pas sûre de pouvoir prendre les photos, il y a trop de distractions. »

L’ami photographe l’a rassurée en lui disant : « C’est un moment historique, laissez-moi juste être une mouche sur le mur. ». Il s’est donc fait discret, lui laissant de l’espace pour se préparer pour la cérémonie.

De cet épisode, le photographe a déjà eu l’opportunité dans un entretien accordé au magazine Gala.
"Je connais Char­lène de Monaco depuis une quin­zaine d’an­nées. Nous nous sommes rencon­trés grâce un ami commun. La Prin­cesse Char­lène a vu mes photos et m’a proposé de venir la photographier pendant les prépa­ra­tifs de son mariage", confiait-il.

Il évoquait déjà les coulisses du mariage princier.

"Il a fallu que je passe les nombreux points de sécu­rité, que j’at­tende que l’on m’ap­pelle. Je me suis retrouvé dans une pièce où s’af­fai­raient coif­feur, maquilleur et leurs assis­tants. J’étais très nerveux, mon objec­tif trem­blait’, se rappelait-il.

"À la dernière minute, Char­lène ne voulait plus se faire photo­gra­phier. J’ai insisté, je voulais pouvoir capter ce moment où une femme devient une prin­cesse, immortaliser ces moments de concen­tra­tion intense, de joie. Je flot­tais comme de la fumée entre les fissures de la chambre, poussé contre les murs, écrasé derrière les racks de vête­ments, me cachant dans chaque recoin’", avait-il indiqué.

’J’ai réussi à captu­rer des moments plein d’émo­tion, avant que Char­lène ne nous quitte pour deve­nir… Prin­cesse Char­lène de Monaco’, se réjouit-il.

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