Mardi 9 janvier 2024, Elisabeth Borne a quitté son poste de Première ministre, une place pour laquelle Gabriel Attal lui a succédé. Mais Emmanuel Macron lui a fait une proposition alléchante, qu’elle a refusée.
Brigitte Macron, l’épouse du président de la République peut être fière de son mari, qui ne serait pas tombé dans le piège tendu lors d’un déplacement en Russie.
Alors qu’il était en déplacement en Russie, les autorités russes auraient demandé au chef de l’État de se soumettre à un test ADN, camouflé sous des airs de test PCR.
Cet épisode évoqué par le magazine « Le Point » est rappelé par le magazine « Spécial Dernière ».
À l’arrivée du mari de Brigitte Macron sur le sol russe, les autorités « lui auraient demandé un test PCR en avançant que c’étaient les consignes de sécurité en vigueur ».
Les explications d’un spécialiste ont été livrées.
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. Ils ne prendraient par exemple pas le risque d’empoisonner un chef d’État. », explique Michel Eltchaninoff, spécialiste de la Russie lors d’un entretien accordé au Parisien.
En réalité, Emmanuel Macron n’avait rien à craindre, et récupérer son ADN aurait permis aux Russes « d’en apprendre plus sur ses origines, et plus précisément d’en savoir plus sur son état de santé ».
« On ne sait pas à quelles fins ils auraient pu utiliser son ADN. Mais il y a une méfiance logique quand on connaît les capacités scientifiques russe dans ce domaine », dit-il.
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