
Lily-Rose Depp rayonne de bonheur, surtout depuis qu’elle fréquente la rappeuse 070 Shake. La fille de Vanessa Paradis a été aperçue au summum de sa forme dans les coulisses d’un concert.
Si Brigitte Bardot partage sa vie avec Bernard d’Ormale, son époux depuis le 16 août 1992, une autre passion anime son quotidien — celle qu’elle voue à Christian Signol, écrivain qu’elle admire profondément.
Comme le rapporte France Dimanche, qui lui consacre sa Une, cette affection toute particulière n’a rien de sentimental : c’est par ses livres que l’autrice trouve un écho à ses convictions les plus profondes.
Déjà en octobre 2024, dans les colonnes du journal Le Monde, reprises ensuite par La Montagne, l’ex-actrice évoquait l’importance des romans de Christian Signol dans sa vie. À travers ses pages, elle disait puiser « l’intelligence, la vérité et la simplicité que l’on pourrait avoir en se rapprochant de la nature ».
Bien qu’elle reste fidèle à Bernard d’Ormale, l’écrivain originaire du Sud-Ouest, fervent défenseur de la mémoire des modestes et des racines paysannes, semble aujourd’hui être devenu un confident discret pour l’icône du cinéma.
Dans la quiétude qu’elle s’est choisie, à l’écart du tumulte médiatique, Brigitte Bardot trouve en lui une écoute rare et précieuse. Celle qui a su sublimer les textes de Serge Gainsbourg semble désormais se tourner vers un autre poète — plus terrien, plus enraciné.
Ce lien, tout en retenue, se construit loin des mondanités. Il se nourrit de silences complices, de souvenirs d’enfance, d’amour pour les animaux et de paysages odorants, imprégnés de thym et de pluie d’août. À travers ses récits empreints de sincérité, Christian Signol, amoureux de la Corrèze, explore des thèmes universels comme la famille, la nature ou encore la transmission.
Ces valeurs intemporelles résonnent profondément chez Bardot, qui voit en lui un héritier spirituel de Marcel Pagnol, capable de toucher les âmes égarées avec délicatesse et pudeur.
Le soir venu, Brigitte Bardot, qui serait affaiblie par la maladie, composerait parfois son numéro. Il s’en suivrait des conversations douces, presque essentielles, croit savoir l’hebdomadaire.
Elle lui parlerait de ses chèvres, lui raconterait les douleurs infligées aux bêtes, précise la publication. De son côté, il évoquerait ses collines et la puissance réparatrice de la terre. Ensemble, ils célèbreraient ce terroir qu’ils chérissent, portés par un attachement quasi sacré à la simplicité et à l’authenticité.
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