Aya Nakamura : la « condition inédite » pour acheter ses places de concert

– par Nolwenn A. Dalpiva
Aya Nakamura : la « condition inédite » pour acheter ses places de concert

C’est une nouvelle qui a « surpris » les fans d’Aya Nakamura ce matin, et qui fait déjà polémique ! En voulant acheter leurs places en « pré-vente » ce mardi à 10 heures pour le concert au Stade de France du 29 mai, les internautes ont découvert une « obligation inédite » : celle « d’acheter également son nouvel album » !



Les fans se sont donc retrouvés « contraints » ce mardi matin d’acheter l’album à « 17 euros » en même temps que le billet. Une « condition sine qua non » qui a provoqué la fureur sur les réseaux sociaux.

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Les réactions sont cinglantes : « C’est quoi cette prise d’otage de devoir acheter ton album pour avoir la place », « Aya, je te pardonnerai jamais l’album à 17 balles pour avoir les places », ou encore « Le vice d’Aya, je suis choqué, on est obligé d’acheter son album à 17 euros pour pouvoir acheter sa place ».

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Selon le journaliste Clément Garin, cette « vente subordonnée » — qui consiste à « conditionner l’achat d’un produit à l’achat d’un autre » — est interdite en droit français, comme le stipule l’article L121-11 du Code de la consommation.

MAIS ! Dans le cas d’Aya Nakamura - en couple avec RK, il s’agit d’un « avantage promotionnel conditionné à la pré-vente ». Si la pré-vente était le « SEUL moyen d’obtenir une place, ce serait illégal », mais ce n’est pas le cas. D’autres pré-ventes auront lieu ce 30 octobre et une vente générale sera ouverte à tous, « sans conditions », le 31 octobre.

D’autres artistes, comme Taylor Swift et même Orelsan, ont déjà eu recours à cette méthode, en imposant l’achat d’un « album bundle en échange de codes de prévente ». Ces pratiques sont « TOLÉRÉES si les billets sont ensuite disponibles à une vente normale et générale plus tard ».