Anouchka Delon lance sa marque de vêtements, virage à 180 degrés !
Alors que la bataille pour l’héritage d’Alain Delon continue de faire rage, Anouchka Delon, vient de faire une « annonce fracassante » ! Malgré une tentative de « médiation de la dernière chance » entre les trois enfants, les relations restent « à couteaux tirés ».
Pour mémoire, Anouchka Delon est désignée comme l’héritière principale, recevant « 50 % de la fortune de l’acteur estimée à 50 millions d’euros », tandis que ses frères reçoivent « 25 % chacun ».
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La guerre fratricide est loin d’être terminée,notamment avec un procèss à venir le 17 mars prochain où Anouchka Delon poursuivra ses deux frères pour « atteinte à la vie privée ». Elle leur reproche d’avoir enregistré et diffusé, à son insu, une conversation avec son père quelques mois avant la mort du « Samouraï ».
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De plus, Alain-Fabien Delon est « déterminé à faire annuler » le testament du « monstre sacré du cinéma », car il ne supporte pas que sa sœur détienne seule les droits artistiques de leur père.
Face à cette tension, celle qui partage prend un « virage à 180 degrés » à la surprise générale : déjà aux commandes de la société ADID (Alain Delon International Distribution) dont le siège est en Suisse, la fille de l’acteur vient de créer une marque de vêtements sous la griffe Delon !
Ce projet était préparé « dans le plus grand secret depuis deux ans ». L’actrice est « plus déterminée que jamais à voler de ses propres ailes ».
« Faites vos projets en silence... Fière d’enfin présenter Delon, ensemble avec Alain Delon International Distribution ! », a-t-elle posté sur Instagram la semaine dernière, avec une courte vidéo.
La collection, inspirée des tenues de golf, propose pour le moment des polos et pantalons pour homme et femme, qui seront lancés en Malaisie seulement. La griffe est « guidée par l’œil raffiné d’Anouchka Delon et inspiré par la quête française d’un art de vivre raffiné ».
Anouchka Delon prend ainsi la suite de son père qui avait créé sa propre griffe dans les années 1970.
Cette initiative pourrait raviver encore plus ses relations avec son frère Anthony, qui avait lui aussi tenté une aventure dans la mode avec des blousons de cuir sous la griffe AD, déclenchant la colère de son père. Anthony avait même été condamné en 1985 à verser « plusieurs milliers d’euros à la société du paternel » pour parasitisme et contrefaçon.
