Amir sous haute tension à Nice : le Palais Nikaïa reçoit des menaces et Christian Estrosi prend sa défense !

– par Nolwenn A. Dalpiva
Amir sous haute tension à Nice : le Palais Nikaïa reçoit des menaces et Christian Estrosi prend sa défense !

La tournée d’Amir continue d’être au centre d’une vive polémique ! Alors que le chanteur franco-israélien doit se produire au Palais Nikaïa de Nice le 30 novembre prochain, son concert est désormais visé par une « nouvelle campagne de boycott » qui a entraîné des « menaces » et des « appels malveillants » à la salle.



L’affaire prend une « ampleur nationale », mêlant « politique, sécurité et liberté artistique ».

À lire : La triste nouvelle d’Amir : son concert annulé

Chaque étape de la tournée du chanteur, connu pour ses titres fédérateurs comme J’ai cherché, est désormais accompagnée d’appels au boycott. À Nice, des « militants pro-palestiniens » ont lancé une campagne de « phoning massif » et d’envois de mails « à destination du Palais Nikaïa, pour exiger l’annulation de la représentation ».

À lire : Amir craque sur la scène des Francofolies de Spa

Ce mouvement d’intimidation est notamment relayé par Amira Zaiter, cofondatrice de l’association « Nice à Gaza ».

Déjà « condamnée en juin 2025 à 18 mois de prison dont 6 mois ferme pour apologie du terrorisme et incitation à la haine raciale », elle a appelé ses abonnés à « inonder » la salle de messages et de coups de téléphone. Elle accuse Amir d’être « ancien membre de l’armée israélienne » et d’afficher un « soutien clair à ses actions », a-t-elle déclaré dans une vidéo.

Face à ce « déferlement de pressions » et ces « menaces répétées », « la direction du Palais Nikaïa a décidé de porter plainte ».

Les organisateurs dénoncent un « harcèlement » orchestré par le collectif « Urgence Palestine », qui a publié des affiches en ligne appelant « au boycott des concerts d’Amir dans toute la France ».

Mais le chanteur n’est pas seul ! Face à cette situation, le maire de Nice, Christian Estrosi, a pris sa défense pour « assurer la sécurité » lors de ce show.

La polémique s’est déjà manifestée ailleurs, comme le 25 octobre dernier à Orléans, où une manifestation a eu lieu devant la salle pour tenter de « dissuader le public d’y assister ».