
Meghan Markle aurait choqué le prince Harry par son attitude l’égard de son père, Thomas Markle, qui aurait porté plainte.
Une religieuse a commenté la situation du prince Harry et ses relations complexes avec le roi Charles. La chanoine Angela Trilby, qui l’a connu durant son enfance, a pris publiquement la parole pour livrer son point de vue.
Dans une prise de parole auprès du Daily Mail, le mari de Meghan Markle est décrit comme « confus ».
Il est fait référence aux déclarations que le duc du Sussex a formulées au sujet de son père, dans la célèbre interview accordée à la BBC. Selon elle, ces propos « révèlent sa douleur et sa confusion ».
Elle adresse un message au prince : il doit, selon elle, « abandonner le rôle de victime ».
Pour Angela Trilby, c’est la seule voie qui lui permettrait de se libérer réellement des traumatismes de son enfance, lesquels continueraient à l’influencer profondément. Le papa de deux enfants devrait se réconcilier avec son passé pour trouver la paix.
« J’ai de la peine pour cet adolescent roux à qui j’ai prêché un jour. Je pense que c’est un homme bien. Mais jusqu’à présent, il n’a pas trouvé le moyen de surmonter le traumatisme qui le hante encore. Il en a trop dit pour que les relations se réparent », a-t-elle déclaré.
« Il prétend avoir pardonné à son père et à la famille royale, mais c’est clairement un pardon conditionnel ».
À ses yeux, « les demandes répétées de protection policière et l’insistance sur le fait que son père aurait pu simplement résoudre la situation en lui ordonnant de le faire semblent provenir de l’enfant de douze ans qui a été contraint de marcher derrière le cercueil de sa mère. […] Il aurait dû comprendre que le pardon implique aussi de renoncer à son rôle de victime. »
Angela Trilby insiste sur une étape cruciale, mais difficile, celle du pardon sincère.
« C’est une étape bien plus difficile, bien plus exigeante et, en fin de compte, bien plus importante. Mais la logique de la foi chrétienne suggère que ce n’est que lorsque les victimes pardonnent “du fond du cœur” qu’elles peuvent trouver la libération. »
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