Paul Belmondo dénonce une supercherie autour de l’héritage de son père

Malgré quelques frictions passées entre Paul et ses sœurs, Stella et Florence — ces dernières lui ayant reproché de s’être « accaparé » la villa familiale d’Antigua dans les Caraïbes —, l’unité semblait préservée.

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Pourtant, ce 20 décembre 2025, une vente aux enchères organisée à l’Hôtel Drouot a fait sortir Paul Belmondo de ses gonds, ravivant les projecteurs sur la gestion du patrimoine de l’acteur disparu en 2021.

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L’objet du litige ? Une magnifique Cadillac de collection, estimée entre « 55 000 et 65 000 euros », présentée comme ayant appartenu à l’icône du cinéma français. Face à cette annonce, Paul Belmondo n’a pas hésité à utiliser ses réseaux sociaux pour rétablir une vérité bien différente. Très remonté, il s’est insurgé sur Instagram contre ce qu’il considère comme une manœuvre commerciale abusive de la part de la célèbre maison de vente.

« Vous avez mis en vente une Cadillac qui n’a jamais appartenu à mon père. Jamais jamais jamais ! », a-t-il lancé.

Pour le fils du comédien, il s’agit d’une méprise inacceptable qui entache la mémoire de son père en exploitant sa gentillesse.

Selon les explications de Paul, la présence d’une signature du Magnifique sur le véhicule ne prouve en rien qu’il en a été le propriétaire. L’acteur aurait simplement dédicacé la boîte à gants pour faire plaisir au véritable détenteur de l’auto.

« Ce n’est pas parce qu’il a gentiment signé la boîte à gants (...) que celui-ci doit maintenant l’exploiter en faisant croire que c’était sa voiture ! », a-t-il précisé.

Malgré le prestige de la signature, « ça ne sera pas la voiture de Jean-Paul ».